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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 09:40

 

 
  ADUEC
Prix de l'eau 60F/m3

Non au projet

Fresneaux Montchevreuil le 9 juillet 2001







 

 

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 09:23
 
ADUEC :  Votre facture d'eau va augmenter
 vendredi 2 mars 2001
Votre facture d'eau va augmenter

Jouy 17.64F/m3 actuellement  ==> 52F d'augmentation

 



 

 

    

 

 

 

 

 

 

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 08:42
 
ADUEC
dimanche 26 janvier 2003 -

Taxe de connexion 6000F
Frais de tuyauterie 2000 à 50000F
Consommation 5000F/An ==> 120m3

 

 

 

 
 
 
 

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 11:04
    
Syndicat intercommunal d'Assainissement des communes de la Vallée du Ru du Mesnil


 


 

Document non daté
 
 
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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 01:23
 
Assainissement, ça bouge.........



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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 01:19
 
  

 



Jeudi 21 Janvier 2010 PLATEAU PICARD Une facture de contrôle jugée salée


 
Marie Bourgois juge la somme « exorbitante » pour le contrôle.

Une mère de famille dénonce les 105 € relatifs au diagnostic de son installation d' assainissement non-collectif. L'intercommunalité et [blink=500]la Lyonnaise des eaux[/blink], en charge du contrôle, estiment appliquer la loi.

La facture est salée, selon certains habitants du Plateau picard. Et elle a du mal à passer. Le 19 novembre dernier, Marie Bourgois, une habitante de Welles-Pérennes, reçoit une lettre de la Communauté de communes du Plateau picard (CCPP).
Le courrier débute ainsi : « Madame, la loi sur l'eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 a pour objectif de préserver la santé publique et la ressource en eau. Cette loi demande aux communes de faire un inventaire de toutes les installations d'assainissement non-collectif existantes sur son territoire avant 2012. »

 Un peu plus loin dans la lettre, la jeune mère de famille apprend que dans le cadre du service public d'assainissement non collectif (SPANC), service créé par la CCPP pour aider les habitants du territoire à respecter cette loi sur l'eau, un technicien de la Lyonnaise des eaux prendra rendez-vous avec elle « pour réaliser le diagnostic de (son) installation ».

Un mois plus tard, le 19 décembre, Marie Bourgois reçoit un autre courrier, mais de la Lyonnaise des eaux, cette fois-ci, lui proposant de réaliser ce diagnostic le 12 janvier 2010.
 La jeune femme est alors prête à appeler pour confirmer le rendez-vous, lorsqu'elle aperçoit, « entre parenthèses, que cette prestation est payante, et qu'elle coûte 105 €, indique-t-elle.
J'ai donc appelé tout de suite pour annuler la visite et la reporter à plus tard.
» Marie Bourgeois juge en effet la somme demandée par la CCPP et la Lyonnaise des eaux « exorbitante et injustifiée ».

Et cela a le don de la mettre en colère. « On ne sait même pas à quoi correspondent ces 105 €.

 Il n'y a aucune explication. Le diagnostic de notre installation, on pourrait le faire nous-mêmes. On connaît le problème de notre installation. Il n'y a pas de bac dégraisseur, mais sinon tout va bien. Payer 105 € pour entendre ce que l'on sait déjà, non merci
», rétorque-t-elle. La jeune femme estime qu'il s'agit là « d'un impôt déguisé ». « Et au-delà des 105 €, on nous obligera sûrement à réaliser des mises aux normes payantes, ou autres. »

Elle refuse donc, pour le moment, de payer cette somme. Une démarche de contestation soutenue et suivie par Sandrine Desfachelles, habitant à Ferrières, qui craint d'être confrontée au même problème. Elle juge la facturation de cette visite obligatoire « scandaleuse ».

Un appel au dialogue

De son côté, la CCPP indique, via son président, Frans Desmedt, qu'elle ne fait « qu'appliquer la loi qui nous oblige à réaliser ces visites pour répertorier et diagnostiquer les installations. »

À propos des 105 € facturés, Frans Desmedt explique que « le prix de la visite de contrôle est bien moins important que si les gens avaient été contraints de passer par une entreprise privée. La CCPP rend service à ses administrés en leur permettant de profiter de tarifs réduits », précise l'élu.

Une position que partage Stéphane Fauchet, responsable de la communication de la Lyonnaise des eaux, qui rappelle « que le diagnostic est obligatoire pour les réseaux d'assainissement non collectifs », qu'il s'agit d'un diagnostic « complet des installations, ce qui a inévitablement un coût », et que « des réunions publiques d'information sont organisées dans les communes concernées, préalablement à la visite des techniciens ».

Stéphane Fauchet signale que si « cette personne refuse de payer, elle se mettra en marge de la réglementation ». Président de la CCPP et responsable de la communication de la Lyonnaise des eaux appellent donc la jeune femme à dialoguer.

De notre correspondant PIERRE-EMMANUEL BOULLET

 
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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 01:14
 
 


La station d'épuration opérationnelle
Mardi 20 Octobre 2009





Les élus du canton ont visité la nouvelle station d'épuration, constituée de bassins où des roseaux,qui sont actuellement en train de pousser, (à droite sur la photo), vont servir de filtre.

La station d'épuration, qui vient d'être inaugurée, a le mérite d'être originale. Son mode de filtrage, à base de roseaux et son système d'insufflation d'air, en fait une station économique et écologique.

En mai 2002, le conseil municipal décidait à l'unanimité de se doter d'un assainissement collectif.

Aujourd'hui, ce projet a été réalisé pour un coût de 550 000€ (3 640 561,35 F), avec l'aide du conseil général (141 700€), de l'agence de bassin Seine-Normandie (136 000€) et des fonds propres de la commune (200 000€).

[blink=500]Fléchy ne compte que 89 habitants[/blink].
Soit 43 branchements collecteurs. Malgré tout, la cagnotte municipale et l'effort du département ont permis de transformer cet inaccessible rêve, pour une si petite commune, en une réalisation exemplaire à plusieurs niveaux.

Le choix du traitement par filtres lagunaires et par roseaux d'abord : c'est le système le plus écologique et le moins cher, à la réalisation comme à l'usage. Ensuite, l'implantation à l'entrée du village permet un réseau gravitaire d'un bout à l'autre, et aboutit, au final, à l'eau assainie la moins chère de l'Oise.

« Cet investissement va contribuer à la préservation de l'environnement tout en proposant le m³ d'eau à 2,13€ ( ndlr : 1,13€ pour l'eau et 1€ pour le traitement), souligne le maire Jean Feuillet.
Les usagers ont aussi eu droit à des aides au raccordement. »

« Un système qui booste l'action des bactéries »

Mais en quoi cette station est-elle plus économique ? Bertrand Montaigne, assistant maître d'œuvre pour la société G2P environnement, précise que le procédé proposé par la SAUR comporte « un système d'insufflation d'air dans les bassins qui booste l'action des bactéries et permet ainsi de réduire les surfaces filtrantes nécessaires et donc le coût d'ensemble. » L'eau brute arrive par le haut, sur le massif filtrant du premier étage, qui retient ainsi les boues, puis passe sur le filtre à sable du second étage, avant son rejet par infiltration en milieu naturel.

Le chantier a été réalisé en trois mois par la SAUR (unité de traitement), la Cise (réseaux et travaux) et la société BPR pour la maîtrise d'ouvrage.

Le président du conseil général Yves Rome ne s'y est pas trompé, en déclarant d'emblée, lors de l'inauguration : [blink=500]« Vous avez un maire exemplaire ! »[/blink], se rappelant qu'il était déjà intervenu à Fléchy dans le dossier de l'ADSL, ce qui avait conduit le maire à déclarer : « Avant que le conseil général n'intervienne pour le haut débit, ça ramait sur mon ordinateur ! Maintenant ça galope ! »

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-locale/Beauvais-Cler…


 

 
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89 habitants
Notre commune, avec 888 habitants, bientôt 1000 (2 lotissements en construction), n'a pas encore été capable d'avancer le plus petit bout de projet.
Alors qu'elle projète de se lancer dans la construction d'une salle des fêtes très couteuse, et que sa voirie est dans un état lamentable...
Ainsi que son réseau électrique encore en aérien, alors que toutes les communes voisines s'emploient à l'enterrer.
Cela suscite d'ailleurs de gros remous au sein du conseil municipal, et présage un séisme au sein de l'équipe municipale de notre commune  

  
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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 07:35
    
Les boues d'épuration transformées en or
 Les boues d'épuration transformées en or
Beauvais
  BEAUVAIS, VENDREDI 23 OCTOBRE. Grâce à l'unité de séchage des boues, les rejets liquides sont transformés en petits grains, explique Martial Pouly (à gauche), le responsable de la station d'épuration. | (LP/A.DJ.)       « Avec des déchets, on arrive à faire de l'or », jubile Martial Pouly, 33 ans. Depuis la fin juin, le responsable de la station d'épuration de Beauvais est parvenu à réaliser cette équation rentable grâce à l'installation sur son site d'un sécheur de boue. Un dispositif original qui permet d'assécher l'ensemble des boues des stations d'épuration de la communauté d'agglomération du Beauvaisis. Grâce à ce « sécheur », les rejets liquides traités sont transformés en petits grains brunâtres. Pour y parvenir, des spaghettis de boues passent sur un tapis où est diffusé de l'air chaud à 110 oC et ressortent en petits granulés. Les avantages de cette métamorphose sont multiples. « D'abord, au niveau de l'odeur, détaille Henry Straumann, le président de la société VBC 3000 qui commercialise le dispositif. Les boues d'une station d'épuration sentent mauvais. Là, les nuisances olfactives sont moindres. »
La pièce où sont stockés les granulés exhale pourtant un parfum qui peut déranger les narines sensibles. Mais les bénéfices en termes de stockage sont indéniables. « Les grains prennent moins de place que les boues. On diminue les volumes pour les stocker et les transporter », poursuit Martial Pouly. Un gain d'espace et donc d'argent: les 200 t de granulés produites en août et septembre correspondent à environ 1400 t de boues qu'on n'a pas eues à acheminer.

Ces petites perles fertiliseront les terres

Autre avantage, au lieu de déverser des litres de magma malodorant sur les champs, ce sont désormais ces petites perles qui serviront à fertiliser les terres agricoles. L'installation de ce système a tout de même coûté plus de trois millions d'euros, pris en charge à 48 % par l'Agence de l'eau Seine-Normandie et par la communauté d'agglomération du Beauvaisis (52 %). Le conseil général a lui aussi mis la main à la poche (150000 €). Reste un dernier problème à résoudre, qui inquiète les protecteurs de l'environnement: celui des polluants contenus dans les boues, qu'elles soient humides ou desséchées.
Le Parisien

Le Parisien
Mur bas
On nous parle de séchage... mais on ne parle pas du cout de ce séchage. Aujourd'hui l'énergie coute très cher.
Pas de bilan mentionné.
Est-il vraiment avantageux de sécher 1400 tonnes de boues et de les réduire à 200 tonnes?
On aimerait en savoir plus.
En attendant: Carton jaune
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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 10:54
    
  

Création d'une commission Eau et Assainissement
vendredi 19 septembre 2008

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 10:47
    
  
Informations sur l'assainissement

Pas avant 2012
vendredi 27 février 2009

 
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