Les villes, avec leurs jardins et nombreuses terrasses fleuries, leurs températures plus clémentes, se révèlent accueillantes pour les abeilles qui trouvent de moins en moins de biodiversité à la campagne
Jean-Paul Faucon, le chef de l’unité « pathologie des abeilles » de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments, se souvient des années 1970, à l’époque où son laboratoire était implanté au cœur de Nice : « Nous avions de superbes essaims en pleine forme qui dévalaient les rues niçoises. »
Aujourd’hui implanté dans l’arrière-pays, à Sophia Antipolis, il observe ses .....