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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 20:13
 Bulletin Météo du  19 mai 2013
      

  

  

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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 18:49
 Bulletin Météo du  18 mai 2013
      

  

  

Ce matin  à Jouy Hier 17/5/2013
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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 06:29
Crocus Autobloqué

Crocus Autobloqué

  

 

Il revient chaque année. C'est la place qu'il s'est choisi pour vivre

 

        
 
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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 19:48
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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 18:51
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Ce matin  à Jouy Hier 15/5/2013
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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 16:26

 

La gelée de thé, une « confiture » au goût d’ailleurs
 La gelée de thé, une « confiture » au goût d’ailleurs

Photo
Faites chauffer un litre d’eau.  
Ajoutez 3 cuillères à soupe de thé (parfumé ou fumé), laissez infuser 5 minutes.
Otez les feuilles, ajoutez 4 cuillères à soupe de sucre et remuez.
Ajoutez 2 cuillères à café d’Agar Agar, remuez et faites bouillir 2 minutes.
Répartissez dans des bocaux et conservez au frais.
A consommer comme une confiture.



Recette

Marie
Désolée, mais je ne sais pas ce qu'est " Agar Agar".
Peux-tu m'expliquer stp Marie
Marie

White
Si mes souvenirs sont exact , c'est je crois une algue, dont on tire
une gélatine pour faire les crèmes desserts..
On la trouve parfois dans la composition de certains desserts..
En Bretagne, dans ma famille, ils récoltaient une algue, qui devenait
blanche et translucide une fois sèche..
Ils la gardaient au sec dans ces fameuses boites à biscuits que l'on ne
trouvait qu'en Bretagne..
Et il fabriquaient avec ces algues des crèmes desserts gélatineuses..

C'est un peu comme la peptine dans les confitures...
J'irais faire une recherche sur le net pour avoir une définition
plus précise de tout cela....
Bonne soirée

WS

White
L'agar-agar (appelé E406 dans la liste des additifs alimentaires) est un
produit gélifiant obtenu à partir d'algues rouges (entre autres floridées comme le Gracilaria).
C'est un polysaccharide du galactose contenu dans la paroi cellulaire
de certaines espèces d'algues rouges (rhodophycées).

Cet extrait serait riche en fer.
L'agar-agar purifié, débarrassé de tous ses éléments minéraux s'appelle
l'agarose, utilisable selon son niveau de pureté dans diverses applications
de biologie moléculaire.

Par dessication ces algues forment un mucilage qui par pulvérisation
donne l'agar-agar utilisé essentiellement pour gélifier les milieux de
culture pour les micro-organismes.
Il est appelé kanten au Japon où il est utilisé dans certaines pâtisseries,
se présentant alors sous forme de longues barres transparentes ou en poudre.
Cette substance s'utilise en très petites quantités.
Elle n'a pratiquement ni goût ni couleur.
C'est un liant et gélifiant végétal parfait pour remplacer la gélatine
animale, il existe une multitude de recettes dans lesquelles l'agar-agar
peut être utilisée: confitures, gelées de fruits, flans...
  WS

        
 
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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 18:51
 Bulletin Météo du  15 mai 2013
      

  

  

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 14:36
L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto

 Je ne sais pas si c'est vraiment une info réaliste, mais j'ai trouvé ce texte sur le net
Gwenn

crayon

L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto



Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.
Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
Mais revenons aux OGM.
La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».
L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».

Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
Source des images et du texte  

  crayon

Si c'est pas un canular, les producteurs d'OGM devront revisiter leur copie
Gwenn

 

        
 
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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 09:23
 
 Boire la tasse à Vichy 

 

  Ces heures qui précédèrent mon départ étaient si singulières, si étranges. Sous le ciel hivernal, elles s’effondraient inexo-rablement sans clarté, fondant comme des couches de crème qui glissent l’une sur l’autre. Seules quelques variations infimes de cette immobilité hivernale semblaient indiquer la progression des heures. Aux abords du plan d’eau du Canada, des dizaines de mouettes s’immobilisaient. Soudain, mues par quelques cris déchirant le voile gris pixellisé de ce jour qui se refusait à prendre la lumière, elles s’envolaient à nouveau, peignant du blanc sur le gris.

Au loin, sur le chemin boueux, mes yeux myopes distinguèrent un groupe de pèlerins qui tanguaient, ils passèrent à mes côtés sans répondre à mon « Bonjour ». Qu’importe, je me sentais déjà  étrangère…  

La route défilait et ces images resurgissaient. Ce lien ténu me permettait de combler un vide vertigineux. Il était tapi là, au fond de mes tripes. Dans quelques heures, je serai à Vichy.

  Je venais de tout quitter. Mes enfants, mon ex, ma ville de Beauvais, ma Picardie natale. Je roulais vers une vie nouvelle, vers l’homme que j’aimais. Un immense sentiment de liberté m’habitait à mesure que la distance s’amenuisait. Se pourrait-il qu’enfin le bonheur soit là, pour moi aussi ?

Cette même luminosité qui me pesait tant, je ne la subissais plus. Je portais la lumière en moi. Chaude et vibrante énergie d’un feu intérieur, c’était si bon.

  Ce moment-là, je l’attendais depuis plus d’une année, en fait, depuis bien plus longtemps que cela. C’était comme sortir d’une tombe, d’un couloir sans fenêtres. Depuis près de vingt ans, j’y vivais aveugle et sourde aux cris de l’intérieur, avec l’incroyable perception que tout avait débuté hier. Quel besoin indétectable m’avait poussée à  plonger dans un tel oubli. J’y avais supporté dignement les violences de mon mari asiatique. Les coups pleuvaient lorsqu’il buvait, ce qui avait débuté à peine deux ans après notre mariage. Période à partir de laquelle l’élégance de l’amour avait disparu. Sans doute était-il brisé dans sa chair depuis son départ du Cambodge. Moi, sa femme, je servais d’exutoire,  bouc émissaire des souffrances de tout un peuple. Soumise et silencieuse victime, mon éducation ne permettait pas d’en comprendre les raisons, celles de mon abdication. Copié-collé d’images familiales sans doute.

  Mais maintenant tout était fini. Fini ! Vous comprenez n’est-ce pas ?

  Il m’attendait. Le nouveau visage de ma vie se dessinait sous les traits de cet homme-là, Michel. Je devais arriver sous peu en voiture, accompagnée par le camion de déménagement. Il fallait tout d’abord que j’installe ma maison. Celle qui me permettrait de recevoir mes quatre enfants, pendant les vacances. Tout était organisé à merveille. Je remplissais chaque seconde avec une telle d’avidité. Que faire d’autre sinon que de rattraper tout ce temps perdu ? Ni les cartons, ni le camion rempli des restes de mon ancienne vie, ni les trois jours qui me séparaient encore de lui n’occasionnaient une gêne quelconque. L’infini s’offrait à moi, sourire aux lèvres, butinant de toutes parts sans que rien ni personne ne m’atteigne.

Il m’avait dit :

« Installe-toi tranquillement et viens me retrouver chez moi dans trois jours ».

  Comme dans un rêve, assommée par tant d’amour, j’avais bêtement répondu :

« Oui ».

  Trois jours, trois heures, trois secondes, trois ans… Ma pendule battait la chamade. Plongée dans les cartons, les meubles, la vaisselle, que sais-je encore, je ne connaissais plus la fatigue et mes nuits étaient si courtes que j’en ignorais presque la faim. Tellement heureuse et pressée de tout installer pour le rejoindre. Elle était belle et grande ma maison, avec un jardin rempli de grève qui recouvrait les allées bordées de buis. Les pelouses dessinaient des courbes régulières encadrées de blanc. Les arbres qui jouxtaient la maison seraient parfaits dès les beaux jours. Ils épanouiraient leur feuillage capiteux afin de protéger notre amour des regards indiscrets.

  Ce troisième jour arriva, si vite, si tard. Je me sentais belle et moche à la fois. Je tremblais comme une enfant en me maquillant. Je faisais tomber presque tout ce que mes mains touchaient. Le trac m’envahit comme une vague scélérate, sans prévenir. Je me garai devant sa maison et parce que nous ne nous étions pas parlé depuis trois jours, j’eus soudain le sentiment de ne plus le connaître. La mise à jour de mon temps venait de s’opérer. Tous les compteurs repartiraient à zéro au moment exact où il ouvrirait la porte, car il devait secrètement me guetter derrière les rideaux ! Sous mes pas les cailloux crissaient au contact de mes semelles et mes talons s’enfonçaient, me faisant tanguer comme une femme saoule. Ivre de bonheur et d’amour.

  Devant la porte, je m’attendais à ce qu’il m’ouvre. Rien. Alors que je sonnais, je commençais à introduire doucement la clé dans la serrure. Je désirais profiter pleinement de mon geste et le surprendre aussi, car il ne m’avait pas entendue. Une fois la porte refermée derrière moi, je l’ai appelé d’une voix claire – Michel…

  En pénétrant dans la cuisine, les persiennes encore fermées laissaient filtrer suffisamment de lumière pour que je puisse voir un corps disloqué sur le sol. C’était Michel, mon Michel qui gisait là, sur le carrelage froid. Aucun cri n’a pu sortir de ma bouche lorsque je constatai qu’il était aussi froid que le sol sur lequel il reposait depuis trois jours. Ces trois jours pendant lesquels je me préparais à vivre enfin heureuse.

Ghislène

 

            

 
   
 

Revue de l’atelier « virtuel » d’écriture « LE CLAVIER LIBRE »  N°05 – Mars 2013

 

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 18:43
 Bulletin Météo du  14 mai 2013
      

  

  

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