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Ascension du synthétique dans le sport |
Ascension du synthétique dans le sport gazon synthétique et pelouse artificielle
 Le constat est sans appel : la nature des terrains de sport a changé avec l’évolution des pratiques sportives modernes. Ces 40 dernières années ont été marquées par une perpétuelle recherche de solutions à base de matériaux synthétiques, aussi bien du côté des pistes d’athlétisme, des courts de tennis, des sols de salles de sport que, dernièrement, des terrains de grands jeux (football, rugby, hockey, foot US), sans oublier les aires de golf. Une seule explication à cet état de fait : l’augmentation de la pratique sportive. A l’instar des terrains de grands jeux et des courts de tennis, le maintien en état des surfaces en gazon naturel dédiées à la pratique du golf reste une gageure... Aujourd’hui la cohabitation du naturel et du synthétique est entrée dans les mœurs des aménageurs de golf ; les zones les plus fréquentées (départs, greens, practices, etc) représentant autant de parties d’un golf souffrant le plus de piétinement intensif, en particulier dans les périodes, durant lesquelles, la régénération naturelle des brins d’herbe est en sommeil - sans parler des risques liés à la sécheresse, pour les terrains situés dans les régions les plus au sud du continent européen.  Dans le match opposant le gazon synthétique au gazon naturel, avantage à la surface artificielle. Les résultats d’une étude (1) récente portant sur l’analyse du cycle de vie comparative d’un terrain de football en gazon synthétique (GS) et en gazon naturel (GN) démontrent que l’utilisation d’un terrain en GS est moins préjudiciable pour l’environnement que celle d’un terrain en GN, l’hypothèse de base étant : “permettre la pratique du football 30h par semaine, 9 mois par an, pendant 40 ans”. Cinq analyses de sensibilité ont notamment été effectuées, portant sur les 5 paramètres suivants : la quantité d’eau utilisée pour l’arrosage du GN, le traitement de fin de vie des déchets végétaux issus de l’entretien du GN, l’emploi de granulats de caoutchouc vierges ou recyclés pour le remplissage du GS, la quantité d’engrais utilisée pour l’entretien du GN, le besoin hebdomadaire d’utilisation du terrain de football.   Ce petit article et la visite du site aura certainement contribué à vous faire une idée de la pelouse synthétique. Maintenant nous attendons vos réflexions sur ces nouveaux développements. Artificiel ou naturel ? |
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Presse-motte pour semis |
une démonstration du modèle professionnel 20 mottes. il faut un terreau "spécial motte" ou un terreau bien grumeleux et sans débris. bien le mouiller, on laisse ressuyer un peu et on peut commencer. attention, trop mouillé, ça colle, pas assez, la motte ne tien pas! on enfonce l'outil dans le terreau pour que celui ci pénètre dans les "alvéoles" puis on presse bien pour compacter le tout. on racle le terreau en surplus avec un outil adapté. cette étape est facultative lorsqu'on connais bien la quantité de terreau nécessaire a chaque "fournée" de motte. ne reste plus qu'a placer le presse motte dans la plaque a semi et a presser une nouvelle fois pour démouler les mottes en douceur. et voila, ne reste plus qu'a semer. 900 mini-motte prêtes pour recevoir la semence de mâche. si cela est bien fait, les mottes sont déplaçables dés le démoulage, une par une, a la main. ahhhh! j'oubliais! pour les nigauds. ne pas oubliez de javelliser les outils et les plaques de semi avant de commencer! Pour compléter cet essai, je vous présente un échantillon des modèles de presse motte disponibles. les deux du fond sont des modèles: 5 mottes de 38 mm 4 mottes de 50 mm le modèle jaune 1 motte de 40 mm le modèle rouge 20 mottes de 17 mm. les ergots noir permettent de crées des évidements dans les mottes de 50 mm ou plus. cela permet de repiquer les mini mottes de 17 mm dans des mottes plus grosses. voilà comment je me sert du petit modèle. le gains de place est impressionnant puisque dans cette boite de ferrero rocher (miam) il y a 40 petites mottes. pour cette exemple, de l'aubergine Monstrueuse de N.Y. le gains de place est tellement important que l'on peut se permettre de ne semer qu'un graine par motte. il y aura des motte vide mais aucun repiquage à racine nue à faire, donc aucun risque d’abîmer la plantule. ne reste plus ensuite qu'a placer la mini-motte dans la grosse motte dans les trous prévues pour cela (si vous avez acheter l'ensemble correspondant). un peu flaché, dsl. http://lebiopotagiste.jimdo.com/ |
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CLERMONT Des mains vertes ressuscitent un jardin |
 CLERMONT Des mains vertes ressuscitent un jardin Mercredi 12 Octobre 2011  Avoir les pieds et les mains dans la terre: telle est la philosophie de l'atelier jardinage. La Ville a lancé il y a un an un atelier jardinage, dans une propriété de la rue de Paris. Sans pesticides, les bénévoles ont redonné vie à un jardin en friche. Derrière les murs d'une propriété de la rue de Paris appartenant à la Ville, l'atelier jardinage mène ses travaux pratiques. Depuis près d'un an, une poignée d'habitants s'y retrouve deux fois par mois pour bêcher, semer, planter, et surtout échanger. Échanger boutures et graines, astuces et bons conseils. «On apprend; on découvre; on observe» note Nicole Sallé, qui anime bénévolement cet atelier. Ici, pas d'engrais chimiques, ni de pesticides; «c'est compost et désherbage à la main; nous avons les pieds et les mains dans la terre!» À l'arrivée du groupe, le terrain était en friche depuis de nombreuses années, recouvert de ronces et de mauvaises herbes. Chacun a retroussé ses manches pour tailler et désherber; les services techniques s'occupant des travaux les plus ardus comme l'abattage d'arbres malades. «La première étape a consisté à tout nettoyer en prenant son temps; se précipiter, c'était prendre le risque de couper quelque chose d'intéressant», poursuit Nicole Sallé. Elle cite en exemple une pivoine arborescente «âgée d'une centaine d'années», qui était enfouie sous une dense végétation. Une taille minutieuse a permis de sauver certaines plantes, «comme ce houx couvert de champignons qui, une fois coupé, a repris vie. » Une fois la terre retournée et des emplacements de parterre définis, chacun a pu apporter des boutures de son propre jardin. «Nous avons simplement investi dans quelques sachets de graines; le reste vient de chez nous.» Le résultat est un coloré patchwork où les rosiers côtoient les lavatères, les cosmos et les dahlias. «Chaque membre apporte également ses idées», ajoute Nicole Sallé en montrant le jardin de rocailles implanté sur une souche par un membre. «Cet atelier est un véritable lieu d'expression et d'échange, ajoute Brigitte Rembauville, maire adjointe chargée de la démocratie locale. C'est bien comme cela que la municipalité a voulu le concevoir. Chacun bénéficie ainsi des connaissances de l'autre.» Si l'atelier, pour le moment, ne regroupe que des habitants résidant en pavillon, «l'idée est de contaminer les gens en immeuble et de leur apprendre à fleurir leur balcon» souhaite en conclusion la maire adjointe. SYLVIE MOLINÈS |
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