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Le jardinage devient une affaire de pro |
 Le salon Jardins se tient aux Tuileries C'est un jardin de 15 000 mètres carrés qui fleure bon le métropolitain. Les amoureux des balcons fleuris et des terrasses verdoyantes ont rendez-vous aux Tuileries jusqu'au 1er juin. Environ 20 000 visiteurs devraient se rendre à la cinquième édition du salon Jardins, Jardin. Un rendez-vous chic pour attirer les citadins qui se découvrent la main verte, mais ne disposent que de petites surfaces pour exprimer leur talent. Seize jardins novateurs et contemporains ont été créés pour l'occasion. «Nous nous adressons à des urbains pour des surfaces de 1 à 10 mètres carrés, indique Xavier Laureau, l'un des initiateurs de ce show. Pour eux, le jardin est une cinquième pièce, à la fois lieu de détente et de rencontre.» Qui n'a jamais taillé un rosier, par exemple, ne peut connaître les vertus relaxantes du jardinage. Paradoxalement, ce marché est stable depuis cinq ans. Il représente tout de même 4,3 milliards d'euros par an. Après une décennie d'engouement liée aux 35 heures, les caprices de la météo et... des végétaux ont fi ni par décourager plus d'un néophyte. En revanche, les services du paysage se développent au rythme de 5% par an. L'année dernière, 3 000 emplois ont été créés dans ce secteur, qui pèse 6 milliards d'euros. Car pour avoir un jardin bien composé, mieux vaut encore faire appel à des professionnels.
 Grands et petits jardins.. C'est notre grande passion. Et vous  Magazine Challenges | 29.05.2008 |par Kira Mitrofanof Forum un jardin blanc |
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Trafic |
 Publié le mercredi 18 juin 2008 À Berre, la famille Otta et deux grossistes sont toujours en garde à vue Les tomates étaient réemballées dans les installations du lieu-dit Mauran, un des quartiers cotés de Berre. Les militaires de la compagnie de gendarmerie d'Istres et les services des impôts ne sont pas au bout de leurs surprises. Vingt-quatre heures après l'interpellation de François Otta, agriculteur bien connu à Berre-l'Étang, les gendarmes continuent de démanteler le tentaculaire réseau mis en place par cet homme de 70 ans. Régulièrement, il se fournissait chez un grossiste de Perpignan à qui il achetait des tomates ibériques à 50 centimes d'euros le kilo. Il les faisait ensuite réemballer dans ses installations du lieu-dit Mauran, un des quartiers cotés de Berre, avant de les livrer à deux grossistes. Ces derniers, rémunérés à la commission, étaient chargés de placer ces produits dans les centrales d'achats de grandes surfaces notamment qui les rachetaient à 1,30€. Ils étaient, selon une source proche de l'enquête, informés du changement d'appellation. Ils seront sans doute poursuivis pour abus de biens d'une société de produits agricoles (l'équivalent d'un abus de bien social) et complicité de tromperie. François Otta, sa femme et sa fille, seront déférés devant un magistrat aujourd'hui même. Ils sont suspectés d'avoir démarré ce trafic au sein de l'entreprise familiale, depuis "au moins dix ans". Sur les six derniers mois, le trafic porterait sur "au moins une centaine de tonnes" de tomates indûment étiquetées comme étant issues de Provence. Un volume conséquent qui laisse facilement imaginer l'ampleur de la fraude mise sur pied. L'autre volet de l'enquête concerne l'emploi de main-d'oeuvre non déclarée et plus particulièrement d'immigrés en situation illégale sur le territoire. Selon un enquêteur, l'homme hébergeait des Marocains dans des conditions de vie, "totalement inhumaines". Certains d'entre eux dormaient dans les serres. D'autres dans des bungalows. Neuf ont été placés en centre de rétention administrative, à Marseille. L'enquête se poursuit. "Nous sommes à la fois soulagés et en colère" À Berre-l'Etang, on parle déjà "d'affaire Otta"... Une affaire qui agite la paisible campagne de cette commune où les exploitations maraîchères s'étalent à perte de vue sur une bonne centaine d'hectares. Et qui suscite de nombreux commentaires de la part des agriculteurs dont les sentiments sont partagés. "D'une certaine façon, nous sommes soulagés car nous nous doutions depuis longtemps qu'il avait de telles pratiques, mais nous sommes aussi en colère car nous craignons que cette affaire jette le discrédit sur l'ensemble de notre profession qui traverse déjà une crise économique sans précédent", commente Françoise Ballatore, la présidente du syndicat des agriculteurs de Berre qui est rattaché à la fédération départementale des exploitants agricoles (FDSEA). Sa structure réunit une soixantaine d'adhérents sur les quelque cent agriculteurs berrois. "Nous sommes regroupés en organisation de producteurs, conventionnés avec l'État et soumis à des contrôles réguliers sur la marchandise, plaide-t-elle. Cela fait vingt-deux ans que je préside ce syndicat et je peux affirmer que François Otta n'en faisait pas partie! Il était discret, toujours à l'écart. Il ne participait jamais à nos réunions et encore moins à nos actions." Des actions visant justement à dénoncer la concurrence des tomates étrangères, d'Espagne ou d'ailleurs, jugée "déloyale". A fortiori si elles sont vendues par un producteur du cru...  Par Stéphane Rossi ( srossi@laprovence-presse.fr ) & Laurent Alexandre  Combien de tels trafics ne sont pas décelés. ..   |
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Les courses coûtent 2% de plus qu'il y a un mois |
Posté le: 05 Déc 2007 à 13:49 Les courses coûtent 2% de plus qu'il y a un mois  Le quotidien flamand De Morgen a mené une enquête sur la hausse des prix de l'alimentation. Début novembre, un journaliste avait rempli un caddy au supermarché avec des produits de marque pour un montant de 99,09 euros. Un mois plus tard, le même caddy contenant exactement les mêmes produits coûtait 100,89 euros, soit 1,80 euro de plus qu'en novembre. Cette hausse n'est pas négligeable, écrit De Morgen. En effet, 1,80 euro sur 99,09 euros, cela représente une hausse de 1,81%. Et ceci sur seulement un mois de temps. Si la hausse persistait à ce rythme sur toute l'année, le prix de l'alimentation augmenterait de près d'un quart sur douze mois. Dix articles sur 25 étaient plus chers. Le prix d'une bouteille d'huile d'olive a même augmenté de 67 cent. Le prix de quatre produits seulement a diminué, dont un paquet de pâtes qui s'est révélé 15 cents moins cher. En raison de la hausse du prix de céréales, on avait pourtant annoncé une hausse du prix des pâtes de près de 30 pc. Et Sarko qui veut relancer la consommation.. Que ce soit en Belgique ou en France, les prix dérapent de plus en plus.. J'attends avec impatience vos réactions sur ce sujet qui préoccupe tout le monde. belga 5 déc 2007 Texte Intégral § |
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Du poulet à la Javel dans nos assiettes ? |
C'est l'édition d'aujourd'hui du "Canard enchaîné" qui le révèle dans sa rubrique "Conflit de Canard" : nous risquons d'avoir dans nos assiettes prochainement du poulet javellisé. Sans forcément préciser la technique sur l'étiquette. Et tout cela, avec la bénédiction de l'UE. Il s'agit d'un procédé américain pour éliminer les salmonelles et autres bactéries présentes dans la viande. Il faut savoir que, jusque-là, l'Europe refusait et interdisait le "blanchiment" à l'eau de Javel. Comment cela est-il possible ? Simplement grâce au Conseil économique transatlantique, "un machin monté en avril dernier pour gommer les 'aspérités commerciales récurrentes' entre l'UE et les USA". Et qui préside ce fromage ? Un conseiller économique de Dobeuliou ! N'en jetez plus, la cour est pleine... Dieu merci, nos exploitants français (soutenus par les écolos) cocoricotent au scandale avec cet argument imparable : "Si en plus, on déverse du chlore..." A juste titre. Réponse des experts de la Commission européenne : au plus tard en janvier 2008. Et les experts devraient donner un avis favorable. Sans forcément donner l'obligation de notifier sur l'étiquette la technique du bain miraculeux. Scène de la vie quotidienne, dans vingt ans : sur le menu, au restaurant, "Poulet de Bresse à la Javel, façon basquaise". Comme le disait J. Robuchon, sur fond musical Grand Siècle : "Et bon appétit, bien sûr !" Iconoclaste 28 nov 2007 Le Canard Enchainé Extrait Cet article a du vous scandaliser, bien sûr /http%3A%2F%2Fperso.wanadoo.fr%2Fheberg-forum%2FHF_default%2Fsmiles%2Ficon_exclaim.gif) Vos appréciations, s'il vous plait /http%3A%2F%2Fperso.wanadoo.fr%2Fheberg-forum%2FHF_default%2Fsmiles%2Ficon_question.gif) Forum un jardin blanc |
Une conversation à continuer ici......... |
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Dans les prés, les pommiers à cidre se sont délestés de leurs rameaux morts, comme l'ont fait les pêchers et les poiriers dans le jardin. Ce n'est pas grave, c'est même on ne peut plus naturel : les arbres fruitiers que l'on appelle aussi arbres de plein vent, poussant sur une haute tige, se taillent ainsi tout seuls à la faveur des bourrasques automnales et hivernales. Il vaut mieux même ne jamais les tailler si l'on ne sait pas s'y prendre. En s'allongeant, les branches se courbent naturellement vers le sol. A l'endroit où elles fléchissent, une nouvelle branche naît, qui prive peu à peu de sève la partie ancienne, qui meurt, se dessèche et tombe.En revanche, les pluies incessantes ont fait verdir les troncs d'arbres, les terrasses, les murets et les toits de tuiles. Ils sont envahis par la mousse et par le lichen. Ni tout à fait un végétal ni tout à fait un champignon, cette "plante", aux gris, bleus et jaunes si subtilement dégradés, ne peut pas s'observer au coeur des grandes villes. Elle s'accroche à de nombreux supports à la campagne, et notamment aux troncs d'arbres dont l'écorce est crevassée. Faut-il débarrasser ceux-ci de leur mousse et de leur lichen ? Non ! Les oiseaux acrobates y trouvent leur pitance et la nature son compte : le lichen n'est pas un parasite.INDÉSIRABLE SUR LES TOITS
En revanche, la mousse et les lichens qui envahissent les toits devront être retirés. Ailleurs, partout où l'on peut gratter ou simplement pulvériser un produit antimousse sans avoir à jouer les acrobates, il faut le faire. Peu à peu, mousses et lichens fragilisent les tuiles, les rendent poreuses par l'effet des gels et dégels successifs qui les font se déliter peu à peu.
Sur les terrasses, la mousse rend certains dallages particulièrement glissants. Quand les algues s'y mettent les jours de pluie, allées de briques et de pierres lisses deviennent risquées à emprunter. Surtout pas de nettoyeur à pression : l'eau projetée avec force détruit la mousse et les lichens, mais aggrave le mal en rendant de plus en plus poreux le support sur lequel la mousse revient de plus en plus vite. Surtout pas de sulfate de fer ! Il fait merveille sur la pelouse, mais fait rouiller les pierres d'une façon quasi irrémédiable. Il existe de nos jours des produits antimousses à l'efficacité remarquable.

Cette année, plus que d'habitude...
Beaucoup de nettoyage au printemps

Alain Lompech Le Monde 18.01.08.
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Vous trouvez votre balcon trop petit pour y prendre le petit déjeuner? Ce designer allemand vous propose ce mobilier dont la partie verticale qui se fixe sur le mur du fond et dont les éléments s'emboitent et se déboîtent selon les besoins.

Christian Lessing (12/02) Balkony

Ceux qui ne possèdent qu'un balcon, savent à quel point un tel aménagement peut être utile.
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A l'intérieur de cet appareil, une LED bleue attire les insectes vers un grillage électrifié et une mort certaine. Les panneaux solaires situés sur le dessus rechargent l'appareil pendant le jour, tout en lui donnant un peit air trompeur de ... barbecue.
DMail (26/02)
€ 29,90
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Dis monsieur....C'est quand qu'on les mange
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Le porc divise les familles
C'est l'histoire d'une petite fille qui ressemblait à sa mère maghrébine, et qui mangeait du porc. Pendant des mois, elle fut insultée par ses camarades de cantine de Lyon, tandis que le personnel de service la regardait avec circonspection. Jusqu'au jour où ses parents se sont énervés, pour qu'elle puisse manger du porc en toute sérénité !
Car la religion s'est maintenant invitée à la table de l'école. Avec plus ou moins d'harmonie. Là où autrefois les élèves se taisaient, laissant le porc et parfois la viande sur le bord de l'assiette, ils réclament aujourd'hui le respect de leurs croyances.
En l'absence de consignes uniformes, les dames de cantine improvisent. Certaines écoles élémentaires pratiquent les tables séparées pour simplifier le service. À Lyon, une mère de famille s'est insurgée que les enfants soient rassemblés au son de «les porcs par ici», les «sans porcs par là». Les instituteurs tiennent parfois la liste des élèves, en fonction de leur alimentation. Tandis que les cantinières croient bien faire en affectant d'office certains élèves au régime sans porc, au faciès.


05/03/2008 Le figaro.fr

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