7 juin 2011
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6 juin 2011
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COIVREL (60) La sécheresse tue aussi l'élevage
Lundi 30 Mai 2011

De gauche à droite : Jean-Luc Poulain, Nicolas Desforges, Bernard Dewaele et Luc Smessaert.
En visite dans un élevage, le préfet a rencontré des agriculteurs touchés par le déficit de pluviométrie. La FDSEA a avancé plusieurs propositions face à la crise.
Le préfet, Nicolas Desforges, est venu mercredi après-midi à la rencontre des agriculteurs chez Bernard Dewaele, éleveur à Coivrel. Jean-Luc Poulain, président de la chambre d'agriculture de l'Oise, a fait le point sur une «situation de sécheresse exceptionnelle qui fait penser, dit-il, à celle de 1976 ».
Une cellule sécheresse a été créée. « Elle a déjà permis de coordonner et assurer l'approvisionnement en paille grâce à...............
Pour en savoir plus.........
De notre correspondant JEAN-CLAUDE CRÉPIN
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Encore une fois, l'application du Sacro-Saint marché, accroit de manière significative les grosses difficultés auxquelles sont soumis éleveurs et producteurs. Il apparait dans cet article que l'état, en la personne de son Préfet ne demeure pas insensible à ce désastre. Il est bon de stigmatiser ici l'importance de l'état, qu'il ne faut pas laisser se dissoudre au fil des élections par manque de combativité citoyenne et civique. Même s'il ne peut pas résoudre toutes les difficultés exposées précédemment, d'un seul coup de baguette magique, l'état peut apporter un soutient temporaire, technique et financier. La mondialisation des marchés ne doit pas être systématiquement combattue, mais tempérée et assouplie dans les moments de crise. C'est pourquoi les états doivent rester forts et puissants sur l'échiquier mondial. Pour cela c'est à nous, Citoyens, de leur garantir notre soutient! | |
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5 juin 2011
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CONSOMMATION Fruits gratuits à portée de main
Mardi 31 Mai 2011

Le jardin de l'église Saint-Etienne renferme de nombreuses variétés d'arbres fruitiers qui, pour certains, arrivent à maturité.Conséquence de la sécheresse de ces derniers jours, les arbres fruitiers arrivent déjà à maturité, pour certains. Et la ville regorge de bons coins où cueillir ces fruits, gratuitement.
Des pommiers, des framboisiers, des groseilliers et des arbres aux fruits... beaucoup plus rares.
Dans son large éventail de massifs et de jardins, la Ville a planté une multitude d'arbres fruitiers qui, conséquence de la sécheresse de ces dernières semaines commencent - pour certains - à «donner».
Si les fruits comestibles ne sont pas cueillis, «ils seront perdus», prévient la Ville. «On ne récolte rien. » Alors à vos paniers.Les premières framboises seront mûres d'ici «environ trois semaines, elles sont déjà formées», annonce Pascal Fourcroy, directeur du fleurissement. Où les trouvera-t-on? Dans le jardin de l'église Saint-Etienne ou avenue Léon Blum.Les deux sites concentrent nombre d'arbres fruitiers, ils sont un peu le paradis des amateurs, avec notamment des « groseilles à maquereaux», prévues pour être à maturité d'ici trois semaines également.
Confiture de baies de Mahonia
Moins commun, le jardin de Saint-Etienne renferme un figuier et l'avenue Léon Blum des «cognassiers», qui donneront aussi cet été. Plus surprenant, il existe à Beauvais des fruits quasi-inconnus et pourtant comestibles, comme «les baies de Mahonia.L'arbuste, d'aspect, c'est comme du houx, avec une fructification très violette. Il y en a beaucoup dans toute la ville, il donne en juillet et août, on peut en faire des gelées », raconte Pascal Fourcroy.
Autre arbre fructifiant: le Leycesteria Formosa, ou «arbre faisan.» À maturité fin ..........
Pour en savoir plus.......
MATTHIEU HERAULT
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Tous les fruits sont en avance avec ce climat digne de nos côtes méditerranéennes. Â la mi-avril les fraises arrivaient déjà dans nos serres. Une compensation fort bienvenue eu égard aux dégâts engendrés par la sècheresse. L'arbre au faisan cité plus haut est plutôt du style arbuste et fourni des baies à la consistance vineuse. Fort appréciés des faisans.... Parait-il! | |
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30 mai 2011
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26 mai 2011
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5 mai 2011
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Deux cents tonnes de fraises attendent déjà les cueilleurs
Lundi 02 Mai 2011

Jean-Paul Courboin, l'un des plus importants producteurs du Noyonnais, pense recruter entre 25 et 35 cueilleurs, dès la semaine prochaine: «Avec le beau temps, la saison sera plus précoce cette année.»
À Noyon, l'agence Pôle Emploi affiche depuis mars des offres pour la récolte de fruits rouges, grande spécialité locale. Les saisonniers polonais se font plus rares.
Le chaud printemps annonce une flambée de l'emploi entre les fraisiers du Noyonnais. Chose peu courante, le démarrage de la cueillette est, cette saison, attendu dès la semaine prochaine.
Devant ses champs tout blancs, à Évricourt, Alain Poix, producteur depuis 28ans, s'en amuse: «J'ai plutôt l'impression d'être un fleuriste...»
Une bonne nouvelle pour les chômeurs et intérimaires: l'agence Pôle Emploi de Noyon a mis en place deux offres dès le mois dernier. Sans limitation du nombre de cueilleurs, pour le moment.
Année favorable oblige, Jean-Paul Courboin, l'un des plus importants producteurs de fraises (60 tonnes à l'année), s'attend à recruter 25 à 35 saisonniers, à Crisolles. Alain Poix, lui, en espère «une vingtaine».
Sans compter les besoins, ici et là, des « petits» cultivateurs composant le reste des membres de la coopérative locale, chargée de revendre les...........
Pour en savoir plus.......
STÉPHANE LE BARBER
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-locale/Compiegne-Noy…

La saison est très en avance
Depuis plus d'une semaine nous en récoltons dans notre petite serre.
Pour nous : Du jamais vu!
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5 mai 2011
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Mamans, elles ont choisi d'être leurs propres patrons

Lundi 11 Avril 2011

Nguyen Nga est devenue sa propre chef en mars dernier dans la photographie et le graphisme, ses deux passions.
Elles sont une douzaine de femmes, qui ont comme point commun d'être mère de famille et chef d'entreprise. Pas toujours facile à concilier. Témoignages
Des questions, elles n'en manquent pas. Elles étaient une douzaine de femmes de l'association Mompreneurs de l'Oise à se rencontrer, jeudi dernier. Toutes entrepreneuses et mères de famille.
L'une d'entre elles, Anita Claux, 37 ans, d'Ully-Saint-Georges, a lancé sa SARL, en mars dernier, un site internet dédié au relooking de meubles et objets. C'était quelques semaines après l'accouchement de son deuxième enfant. «Je voulais être davantage auprès de mes enfants. Ne plus courir et être dans le stress des transports en commun », explique cette ancienne responsable marketing dans une entreprise de la région parisienne.
Chef d'entreprise, Anita est avant tout maman. Pas facile de concilier les deux. «Un père chef d'entreprise pourra se donner plus à fond dans sa société, note Anita. Alors qu'une femme doit être plus présente à la maison auprès des enfants. »
«Mes enfants ont l'impression que je suis moins présente »
Paradoxalement, en travaillant à domicile, ces femmes ne se montrent pas forcément plus disponibles : «Mes enfants ont l'impression que je suis moins présente, témoigne l'une d'elle. Ils préféraient quand je travaillais à l'extérieur et que je les emmenais chez la nounou ».
Pour Anita, être chef d'entreprise c'est un nouveau challenge à relever. Et la jeune femme ne compte pas en rester là. «Le but c'est d'avoir d'autres salariés dans quelques années. » La jeune maman pense que l'année prochaine, elle pourra commencer à vivre de son nouveau métier.
«Pour l'instant, j'ai beaucoup de charges à payer, d'ici un an je devrais pouvoir me rémunérer. » Nguyen Nga, 38 ans, de Chantilly, a pris moins de risques et s'est lancé comme auto-entrepreneuse dans la photographie et le graphisme, en mars dernier.
Si elle n'arrive pas à en vivre, elle peut toujours retourner travailler comme assistante dentaire, son métier originel. Ce qu'elle apprécie, c'est d'être autonome dans son travail et de pouvoir gérer ses créneaux horaires.
Mais le risque pour ces femmes qui travaillent pour la plupart à domicile, c'est de mélanger travail et vie privée. «Pour l'instant c'est compliqué, je n'ai pas de bureau de travail chez moi, précise Nguyen. Je dois déménager l'année prochaine. »
Mais si il y a bien une chose que redoutent ces femmes entrepreneuses, c'est l'isolement. «Ce qui me manque, ce sont les pauses café avec les collègues, pour se raconter son week-end », avoue Anita.
ÉLISE KERGAL


Toujours difficile d'entreprendre dans notre beau pays La France.
Beaucoup d'embuches:
- Administratives
- Économiques
- Sociales
- Familiales
Créer son entreprise demeure une démarche assez
hasardeuse, mais très excitante.
Le témoignage de ces personnes illustre bien le dynamisme nécessaire pour mener son projet jusqu'au bout.
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27 avril 2011
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18 février 2011
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La gale frappe l’école élémentaire 
Publié le 24.11.2010
Beaucoup la considèrent comme une maladie d’un autre siècle. Pourtant, la gale sévit encore. L’affection s’est invitée à l’école élémentaire de Jouy-sous-Thelle, où 117 élèves sont scolarisés. Deux cas ont été détectés en fin de semaine dernière chez des écoliers de CP et CE 1.
Afin d’apaiser les craintes des parents, une réunion d’information s’est tenue lundi midi en présence de l’inspecteur de l’Education nationale d’Auneuil et d’un médecin scolaire.
« Il y a effectivement eu deux cas de gale commune, confirme Carine Damblant, la directrice de l’école. Le premier a été diagnostiqué en début de semaine dernière et le second vendredi. Nous avons bien sûr alerté l’inspection académique, les parents d’élèves ont tous été avisés et toutes les précautions d’usage ont été prises afin d’éviter la contagion. Il n’y a vraiment pas lieu de s’inquiéter… »
La réunion programmée lundi n’a pourtant pas rassuré tout le monde. L’angoisse des parents s’est même propagée beaucoup plus vite que l’affection. « J’ai eu le sentiment qu’on cherchait à minimiser les choses, confie une maman. Les deux enfants affectés n’ont même pas été isolés, soi-disant que la période d’incubation était passée. Hier après-midi (NDLR : lundi), je me suis longtemps demandé si je devais mettre mon fils à l’école. J’ai couru chez le pharmacien pour me procurer un traitement préventif, une bombe antiparasite et un gel pour la peau… » D’autres parents, visiblement très inquiets, sont allés jusqu’à contacter les hôpitaux Necker et Robert-Debré, à Paris, afin de connaître la marche à suivre en cas d’épidémie.
« Je comprends les craintes .......
Pour en savoir plus.......
David Livois
Panique à Jouy sous Thelle!
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18 février 2011
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07:00

PLATEAU PICARD Passage à la TNT: les magnétoscopes en rade
Mercredi 16 Février 2011
Bernard Labalette dans son atelier du service après-vente de Maignelay-Montigny.
Depuis le passage à la télévision numérique terrestre, beaucoup d'usagers ne peuvent plus se servir de leur magnétoscope pour enregistrer. Explications.
Avec l'arrêt de la diffusion analogique le matin du 2 février vers 7heures et le retour du numérique à 12h30, la transition fut plutôt réussie du côté des techniciens de TDF.
Mais sur le terrain, «ce fut la course pour aller régler téléviseurs et adaptateurs» , confie Bernard Labalette, patron de l'enseigne Gitem, installé dans la galerie commerciale du centre Leclerc à Saint-Just-en-Chaussée. « Mercredi et jeudi matin, nous avons reçu 350 appels chaque jour et heureusement que nous avions déjà pris les devants en allant installer les adaptateurs chez les clients nous ayant contactés avant cette date!»
Comment éviter les interférences de fréquence.....
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