En ce treizième jour du deuxième mois de l’été de l’an de grâce, deux mille cent douze ans après la naissance de notre seigneur Jésus-Christ, on fêta dignement, mais secrètement l’anniversaire du nouveau Roi de France, François de Hollande, dit « le Flamby », quatorzième du nom. Secrètement, tant était fort, le danger de calomnie et de sarcasme, des forces réactionnaires, maintenant renvoyées à leurs chères études. Depuis le sacre du nouveau Roi de France, François de Hollande, dit « le Flamby », quatorzième du nom, investi de sa lourde charge sous les lambris lourdement dorés, d’un palais élyséen, trop important pour ses frêles épaules de Prince des terres et domaines de la représentation socialiste, en notre bon royaume de France. Donc notre Monarque national, fraichement issu de la gente socialiste, se fit transporter en diligence ferroviaire, vers des cieux plus ensoleillés, en la demeure de réputation Royale… L’austère Château de Brégançon, longtemps dévolu au casernement des forces militaires fidèles à la couronne royale, des ancêtres de notre Monarque François XIV, investis de tous les espoirs de son bon peuple. Ce jour-là, privés de leur mur des calomnies, les mécréants, les blasphémateurs et les iconoclastes venus de toutes les contrées de notre cher royaume ,très vénérable, durent se réfugier dans le virtuel, voire le bizarre, même. Les joyeux gazouillis du « touiteur » populaire devinrent vite d’odieux croassements de très mauvais augure et de très mauvaise tenue contre notre cher monarque. La Face de Bouc des grimoires populaires devint un cloaque et un pilori pilonné par les projectiles les plus répugnants de la colère de la populace. Populace qui mit elle-même sur le trône ce François XIV, il y a encore quelques semaines, et qu’elle chargea de distribuer à tout va, subsides et récompenses, cadeaux de toutes natures, tout en souhaitant que notre bon monarque remplisse de bons ducats, sonnants et trébuchants, un trésor royal pillé depuis des décennies, par des instances occultes, parait-il…. Mission impossible, quand on sait que toutes les corporations fortement lassées par les prélèvements et les ponctions de plus en plus fréquentes des collecteurs d’impôts, se sont transportées, depuis longtemps, avec leurs industries, leurs échoppes et leurs commis, vers des cieux moins néfastes à leur économie. Ne restant plus pour soutenir les finances royales, que les gueux et les mendiants qui animent encore, centre-ville et autres cours des miracles. Les campagnes étant, quand à elle, perpétuellement soumises au pillage des armées, des Brigands et des Grandes Compagnies. Nous vîmes alors, ressuscitée de ses fiefs de l’Essonne, La Baronne de Kosciusko, née Morizet, Nathalie étant son patronyme ; donc cette harpie des forces conservatrices, dépossédées de leurs charges ministérielles, jeta son venin démagogique sur la difficile mission de ce monarque, fraichement investi de tous les espoirs de son peuple. Le Baron Jehan-François De Copé à la tête des armées conservatrices sous bannière de « Luhaimepée », qui avait entamé dès le lendemain de la défaite de sa confrérie une longue marche en terre Celtique au grand duché de Bretagne ; ne pouvant se résoudre à entreprendre sa longue marche du désert de près de cinq ans ; donc ce baron drapé dans son importance et son orgueil, fit, en ce jour-là, donner l’assaut aux forces de la critique sans fondements réalistes, contre les murs d’une royauté déjà fragile, tant les attentes des sujets de nos royales provinces, sont incommensurablement peu réalistes, dans ce concert de crise et de guerre électorale. Un Baron qui se préparait déjà à d’autres combats, bien plus meurtriers pour les rangs des siens, désastreux pour le devenir de sa confrérie, divisée par la défaite. Mais c’est là une autre histoire………. |