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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 18:35
La page du jour de Jules Hostouley -  22/03/2014

   
 22/03/2014 18:22:19  

 Conseillés, Conseillères ! Qu’avez-vous fait de vos six ans ?
Nous voici arrivés au bout du mandat de l’actuelle municipalité . Que de péripéties ces 6 dernières années. Jouy sous Thelle un petit village tranquille où l’on ne s’ennuie pas. Si l’on observe les réunions du conseil municipal, ce fut parfois le Far West. On a pu souvent se demander qui était le shérif. La maréchaussée s’est, occasionnellement, invitée certains soirs de débat. Rétrospectivement cela prête à sourire… Mais malheureusement ce n’est pas une histoire drôle. Si quelques réalisations ont pu être menées à bien par l’équipe municipale actuelle, c’est le caractère social de notre village qui est une catastrophe. Les associations ne fonctionnent pratiquement plus. Les bonnes volontés semblent désabusées . La nouvelle salle socioculturelle, qui, si elle accueille journellement le périscolaire et périodiquement la séance de cinéma, ne semble pas arriver à développer un peu plus le coté culturel et social dans notre village. Il fut évoqué en son temps, la création d’une bibliothèque, au sein de cette salle… Point de bibliothèque. Cette salle socioculturelle pourrait se prêter à d’autres manifestations que seulement la séance de cinéma , qui est déjà une expression culturelle de qualité.…On pourrait, par exemple, proposer des expositions diverses, du théâtre ou des conférences. Les habitants de Jouy sous Thelle sont cultivés et répondraient positivement par leur présence aux propositions des associations. Mais seulement voila, en matière sociale, tout est en panne, tout est en berne dans notre village. Il est permis de penser à la veille des élections municipales, que la nouvelle équipe arrivera à renflouer le navire social et associatif, qui a sombré depuis longtemps dans notre commune. C’est là tous nos espoirs pour les six prochaines années.
L'adulte ne croit pas au père Noël. Il vote. » (Desproges)
  

 

 

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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 11:41

 

La page du jour de Jules Hostouley -  02/02/2014
 Posté le: 2 février 2014 11:25:55  

   Des fromages à chier ! Non ! Â puer.
Je me souvient que le vrai fromage Français vraiment populaire était le camembert.
Le "calandosse" comme on dit encore de nos jours.
Seulement voilà ! Depuis, on a vous voulu gouter tous les Fromages et se dispenser de l'odeur.
Plus prosaïquement, le fromage n'est qu'une espèce de substance tirée du lait animal, que l'on a mis a pourrir, pendant un temps, bien déterminé, en fonction de la variété du fromage.
En terme concret !Bonjour l'odeur! Mais malheureusement, les nouveaux fromages ont tous des appellations très ronflantes; mais sont dépourvus d'odeur et par voie de conséquence de gout.
Si l'on ne veut pas manger de fromage qui pue, il faut se rabattre sur le yaourt nature, le Petit Suisse ou le fromage blanc, la Caillebotte ou la Jonchée .
Rassurez-vous ! Les qualités nutritionnelles sont sensiblement les mêmes.
Et surtout arrêter d'en interdire l'usage aux autres, au nom d'une "soi-disant" hygiène alimentaire.
Il a suffit que depuis la guerre, un quarteron de " Bonne-femmes" en mal de diététique, agissent contre les productions de ces fromages au lait cru, pour que le Camembert y laisse le meilleur de lui-même : Son gout! Et du même coup, son odeur, bien évidemment. L’un n’allant pas sans l’autre.
Les Américains ont aussitôt emboité le pas pour éliminer toutes productions non aseptisées, non pasteurisées et non stérilisées. Au profit de la crème glacée sucrée. Ils n'ont vraiment pas de leçon à nous donner, quand on voit la largeur que le "cul" de leurs "bonne femmes", a pris en moins d'un siècle.. Rappelons que les Américains consomment près de 10 fois plus de crème glacée que les européens. Aujourd'hui on est obligé de se rabattre sur des fromages plus élitistes en terme de gout, mais bien plus cher... Roquefort, Maroilles , Munster, Pont l'Évêque et autres Crottin de Chavignol.
Bien évidemment tous les Normands et aussi tous les Picards savent bien que le Camembert , ne peut se consommer, immédiatement, après l'achat; mais qu’il doit faire l'objet d'un affinage familial de quelques heures, voir de quelques jours, pour que cette production laitière renommée, développe tous ces arômes les plus subtiles. Le Camembert a cette vertu suprême, de pouvoir être consommé à divers stade de son évolution. Livré dans son emballage papier et sa boite si caractéristique, par le fromager, le Camembert n’a pas encore vraiment d’odeur, ni de gout. Il comblera, avec bonheur, l’appétit des tout-petits et aussi celui des adultes qui craignent de puer de la gueule par la suite. Certains puent déjà de la gueule, quand on les entend s’exprimer dans la vie courante ou sur les réseaux sociaux ; alors bouffer du Calandos surfait, ne doit pas les effrayer beaucoup. Ensuite ce Camembert peut passer par tous les états de la matière ; les fragrances coutumières, le suivant de peu. Des variétés allotropiques, en quelque sorte… Bien connues des chimistes. Sa pâte molle et blanchâtre, encore de bonne tenue dans les heures qui suivent l’achat, peut se transformer, alors, en un sirop épais, un torrent crémeux, de couleur jaunâtre, aux effluves pédestres. Et cela, surtout en cas de fortes chaleurs. Â ce stade il est souvent traité de « coulant ». Par la suite s’il n’a pas débordé de son emballage, il va prendre une consistance bien plus ferme et colorer son épiderme de toutes sortes de nuances d’orange de noir et de jaune, et parfois aussi…De veèèèèrt !. Dans les cas les plus extrêmes.
Il m’est arrivé, en des temps plus anciens, de me délecter de cette substance très élaborées, que quelques asticots frétillants s’étaient, déjà, offert en guise d’amuse-gueule. En été, en Normandie, dès l’apparition des premières pommes, nous mangions souvent des pommes épluchées, en accompagnement de notre cher camembert tartiné sur de grosses tranches de pain confectionnées à partir de ce « 4 livres » qui semble avoir, maintenant, déserté les rayons de nos boulangeries, qui n’en demeurent pas moins et pour longtemps, encore, les temples, du savoir-faire, du bon gout et de la qualité.

« Comment voulez-vous gouverner un pays qui a plus de 300 fromages » Charles De Gaulle.

  

 

 

 

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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 07:36

 

La page du jour de Jules Hostouley -  28/01/2014
 Posté le: 28 janvier 2014 

Moins cher que moins cher

Petites réflexions en ces temps de crise. Malgré la crise nous ne réformons pas  nos habitudes d'acheteur et de consommateur. Toujours le moins cher possible et, si possible en grande quantité. Regardons un domaine que je connais bien : Les outils de jardinage.

Les outils de nos grand-parents étaient très solides mais aussi très chers.
La preuve: ils ne nous laissaient jamais les utiliser. De crainte que nous cassions le manche. Aujourd'hui, les aciers sont encore de meilleur qualité qu'autrefois.
Et ils le seront encore plus dans l'avenir. Et on peut fabriquer des outils encore plus solides que ceux des anciens. Mais il faut , mettre le prix qu'il faut. Les consommateurs que nous sommes, ont été habitués à acheter tout au moins cher possible. Mais la qualité est à la hauteur du prix et inversement. Nos grand-parents quand ils achetaient une bêche, par exemple, se rendaient dans l'unique grande quincaillerie du chef-lieu de canton, dans le bourg voisin.  Ils demandaient une bêche et le vendeur leur apportait souvent l'unique modèle en magasin. Nos grand-parents ne s'inquiétaient du prix qu'au moment de passer à la caisse. Ils avaient de toute façon grand besoin de cet outil et ils savaient que celui-ci leur ferait de l'usage pendant des années, voire pendant des décennies.
Et comme les prix ne variaient que très peu, à l'époque, ils avaient en permanence le souvenir du prix réel. Aujourd'hui, si on doit acheter une bêche, on consulte les montagnes de pub déposées dans les boites aux lettres. On fait le tour des jardineries, des grandes surfaces, à la recherche du moins cher que moins cher.  Tout en évitant le petit magasin du vrai professionnel. Et on achète un outil à 9€99 , par exemple . Très important çà 9€99...On n'a pas payé 10€00! La belle affaire! Et par la suite on s'étonne que l'outil commence à rouiller au bout de quelques mois; que le manche perd sa rectitude à la fin de la saison; que l'outil se démanche au bout d'un an ou deux; qu'une dent casse ou se tord sur un effort un peu plus violent. Il en est ainsi pour tous nos achats. La faute en est aux consommateurs que nous sommes (et dont je fais partie); toujours à la recherche d'un produit le moins cher possible. A chaque promo de grande surface, on s'encombre d'objets ou de produits de faible qualité, que l'on n'utilisera jamais, pour la plupart. Mais on a l'impression d'avoir gagné de l'argent. Il nous faut des grandes maisons pour stocker tous ces achats. Si l'on n'achetait que des produits de bonne qualité, à un prix raisonnable, mais forcément plus couteux, que tout ce qui se vend habituellement, on rentabiliserait cet achat couteux sur un temps forcément plus long mais finalement rentable à long terme.
On n'aurait plus besoin d'importer ces produits à bas cout fabriqués par un personnel bas de gamme, dans des pays encore sous-développés.. On restaurerait des emplois manuels de qualité qui se sont exportés en Chine , par exemple.  Et la Chine pourrait enfin travailler à plein pour son marché intérieur.  Car seul 10% de la population chinoise profite, pour l'instant, pleinement du boum économique de ce pays..
Les Chinois, peuple très ingénieux, très courageux, très travailleurs, n'ont pas besoin qu'on leur ouvre notre marché de produits bas-de-gamme, pour faire tourner leurs usines.
Du coup, ils se contentent de produire bas-de-gamme, pas cher et en grand nombre.
Ils ne cherchent donc pas à faire plus de qualité et par voie de conséquence à proposer des salaires plus attractifs à leurs employés. Ils le feront un jour ou l'autre, n'en doutez pas; mais ceci n'est pas encore d'actualité.  Cela représente une menace politique grave pour ce pays; les populations rurales très nombreuses et tenues à l'écart de cette expansion fabuleuse, ne se contenteront pas toujours d'être les spectateurs d'une société urbaine qui profite pleinement de cette réussite. Comme le Maghreb en a fait  récemment la démonstration, qui peut encore parier pour un avenir serein  de la Chine, dans les conditions où une partie très importante de sa population est laissée pour compte.
Six mois avant, personne n'avait pronostiqué la chute du mur de Berlin.
Et le monde n'a pas encore fini de tourner...Loin s'en faut!


Quand la Chine s'éveillera.....................

  

 

 

 

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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 06:14
La page du jour de Jules Hostouley -  29/11/2013
 Posté le: /2013 05:25:55  

La face de Bouc de Facebook
Il est en train de vider nos forums et nos sites ; de déprécier Internet.           
J'y suis inscrit depuis peu  et je comprends très vite pourquoi il a un tel succès.
C'est le domaine de la facilité. Déjà internet en général c'est le domaine de la paresse.
Voyez les gamins qui ne font que du copié-collé en guise de devoir.
Facebook une interface bâclée où l'on ne comprend pas très bien, qui voit quoi ou quoi voit qui? De plus de la publicité récurrente et omni présente.
Sur nos forums et nos blogs ils suffit de baisser la page et hop oublié la pub.
En outre, comme Google, Facebook a vendu son âme au diable.
Le diable c'est cette saleté de publicité poisseuse qui vous colle partout.
Facebook fait une concurrence au principe des forums.
Mes pointages sur plusieurs forums, me permettent de constater que les gens continuent de s'enregistrer sur les forums, mais vont bavasser sur Facebook.
Forte baisse de participation depuis l'année dernière.
Sur Jardin blanc, toujours autant d'inscriptions. Mais pleins qui ne valident même pas.
Et les validés qui restent muets. Qu'espèrent-ils voir en s'inscrivant?
Il est évident que la qualité de présentation de Facebook n'est pas à la hauteur de nos sites. Google le "Zeus de l'internet " a intégré les réseaux sociaux dans son nouvel algorithme " Panda", pour assurer le référencement des sites. Du coup on est obligé d’aller sur Facebook, si l’on veut avoir une chance d’être aperçu.
Quelle est votre opinion sur tout cela?

 l'Ouest rien de nouveau? Si! Facebook!  ( Les Nouveaux Proverbes)
  

 

 

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 08:37
La page du jour de Jules Hostouley -  21/06/2013

    21/06/2013 07:12:04 
  

  Le Van de la Tarare
Dimanche 16 juin, c’était la brocante à Jouy sous Thelle. Plus importante que l’année précédente par le nombre d’inscriptions. Les visiteurs et les chineurs furent fidèles aux rendez-vous. Nous avons pu remarquer parmi les nombreux objets proposés, une ancienne machine agricole : Une Tarare. Machine inventée au début du XIX siècle pour remplacer le Van ; outil ancestral utilisé pour débarrasser le grain de ses impuretés ; outil au maniement très pénible pour les ouvriers agricoles. Cette machine de petite dimension évoque parfaitement le passé et la vocation agricole de notre commune qui est toujours au top en matière de production agricole. Le ventilateur de cette petite machine n’est pas sans rappeler le batteur de nos très modernes moissonneuses batteuses. Notre commune s’apprête à faire installer deux puits pour embellir notre village ; louable intention s’il en est ; mais intention onéreuse ; onéreuse pour le budget communal. En ces temps de crise, le produit de nos impôts doit se diriger en priorité vers des dépenses et des investissements de la plus haute utilité. Donc cet appareil, cette Tarare aurait pu très bien, pour un coût très modique, devenir un objet d’exposition pour stigmatiser la vocation principalement agricole de Jouy sous Thelle. Pas question, par exemple, d’exposer sur la place de l’Église, une ancienne moissonneuse batteuse, pour commémorer et sanctifier le labeur des anciens. D’autre part, pour enseigner aux jeunes générations le formidable développement des techniques agricoles, depuis près de deux siècles, cette petite machine aurait très bien pu faire l’affaire. On peut ainsi remarquer dans certaines communes environnantes, diverses charrettes, carrioles, tombereaux ou chariots, restaurés avec soin en lieux et place des aménagements floraux de ces communes. Il aurait été très utile pour la commune de négocier, ce jour-là, avec le vendeur, afin d’acquérir cet objet. 100€ fut-il proposé au petit matin ; 80€ fut-il offert à la mi-journée. Au soir de la brocante ce volumineux objet ne semblait toujours pas avoir trouvé preneur. La commune aurait même pu obtenir un tarif encore plus intéressant en flattant la fibre citoyenne du vendeur. Bref ! L’achat conclu, il suffisait de trouver parmi la population des retraités (de plus en plus nombreuse) un expert en menuiserie afin de restaurer et de sécuriser l’engin. Ceci bénévolement, bien sur. Seulement voila ! C’est là où le bât blesse : Les bénévoles, espèces non protégées, sont en voie de grande disparition dans Jouy. Le mot « Bénévolat » aura bientôt disparu du dictionnaire communal. Tant la situation et l’esprit des affaires communales sont calamiteux.

Si on payait mieux les bénévoles, ça donnerait peut-être envie à plus de gens de travailler gratuitement. » Philippe Geluck
 

  

  

  Tarare   

 

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 06:42
La page du jour de Jules Hostouley -  20/06/2013
 Posté le: 20/06/2013 05:25:55  

    Commune en friche ? La commune s’en fiche !
Le climat de ce début d’année engendre un surcroit de travail dans tous les domaines de l’entretien des jardins et des espaces verts. Chacun peut s’en rendre compte au quotidien. La commune est maintenant obliger de passer par une entreprise pour assurer l’entretien des chemins de la commune ; notamment les chemins qui mènent vers la Chaire à Loup. Pour quelle raison ce travail n’est-il plus assuré par les agents communaux ?. Il faut se souvenir qu’en 2012, on vit apparaitre de multiples plates-bandes sur les trottoirs le long des murets des riverains. Réalisation menées à bien grâce au grand talent des deux agents communaux. Tout cela serait fort bienvenu, s’il ne fallait pas assurer l’entretien de toutes ces plantations. Il faut de plus apporter une irrigation importante durant les fortes chaleurs, de ces derniers jours. Chacun sait que les quelques orages qui bombardent notre région actuellement, ne peuvent maintenir une humidité suffisante au pied de ces végétaux fragiles et onéreux, acquis par la commune l’année dernière. Donc ce sont les deux agents communaux qui s’y collent. Leur tache s’alourdissant au fil des années, il a fallu recourir à une aide extérieure pour assurer l’entretien de la commune. Alors, qu’il eut été si simple de communiquer avec la population de Jouy sous Thelle ; afin de lui proposer, dans la mesure du possible, d’entretenir et d’arroser ces parterres fleuris. Une bonne partie de nos concitoyens n’aurait pas refusé de rendre ce petit service à la collectivité. C’eut été une réalité, si le premier magistrat de la commune avait pris la peine de faire connaitre ses désidératas auprès de ses administrés. Que Nenni ! Point de dialogue ! Au lieu de cela, on a vu fleurir des bordures en pavés sur les trottoirs de Jouy sous Thelle . Tout cela sans concertation aucune. Et sous ces pavés, nous eûmes beau gratté et regratté ; point de sable ; point de plage ! Certaines de ces implantations florales ont même suscité des interpellations orageuses en réunion de Conseil Municipal. La Maréchaussée étant même invitée certains soirs de réunion. En définitive, nos concitoyens ne sont pas, une fois de plus, associés à la vie de la commune, par manque de dialogue du maire de la commune. Beaucoup de talent, de générosité et de citoyenneté, qui ne demandent qu’à s’investir, à Jouy sous Thelle ; encore faut-il vouloir et pouvoir les solliciter. Depuis ces dernières années, la Mairie s’est emmurée dans un lourd silence, qui en devient méprisant pour nos concitoyens, arrogant pour chacun d’entre nous.

Un homme seul est toujours en mauvaise compagnie. Paul Valéry

  

 

 

 

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 09:31
La page du jour de Jules Hostouley -  20/03/2013

   
  Posté le: 20 mars 2013 à 09:10

  Sports d’hiver à Jouy
Le 10 de ce mois la région nord ouest de la France a été touchée par des chûtes de neige d’une importance extrême. Jouy sous Thelle a eu droit aussi à son lot de blanche poudreuse. Il n’avait jamais été constaté, de mémoire d’homme, une telle catastrophe pour les usagers. Â 10 jours du printemps, cette précipitation a eu, à l’évidence, un caractère exceptionnel. Devant me rendre sur les routes enneigées pour récupérer des personnes bloquées par les congères, j’ai pu constater la détresse et la galère des automobilistes. Le vent déplaçant la neige accumulée dans les champs vers les routes et provoquant de grosses congères dans les portions de routes les plus encaissées. J’ai pu remarquer le dévouement de certains automobilistes. J’ai été remorqué 2 fois par des 4x4 et poussé 4 ou 5 fois par des groupes de personnes très attentionnées par nos problèmes de circulation. J’ai remarqué aussi un nombre important de tracteurs agricoles présents sur le théâtre des opérations. On peut leur rendre hommage pour ce travail.. Mais j’ai pu aussi remarquer un manque de coordination et d’organisation pour certains. On nous dit que les autorités compétentes sollicitent et indemnisent les propriétaires de ces matériels. Fort bien ! Mais ces mêmes autorités ne semblent pas faire leur boulot d’organisation et de coordination des moyens mis à leur disposition. En conséquence on a pu voir des engins agricoles en surnombre en certains endroits et en revanche, très attendus et très espérés en d’autres lieux plus critiques. En ces temps de crise, le gasoil coute fort cher et va devenir de plus en plus rare. Si l’on nomme des autorités compétentes pour diriger, on s’attend bien évidemment à ce qu’elles dirigent. Cela ne semble pas être le cas. Tout cela est fort malheureux pour ces agriculteurs qui se présentent spontanément, le plus souvent, pour aider et porter secours, aux usagers les plus en difficulté, sur les routes de notre département. Â l’heure où tout le monde est doté de téléphone mobile, il est très facile de diriger ces personnels agricoles compétents vers les lieux les plus sensibles en termes de déneigement. Il semblerait que dans les préfectures, que l’on n’a pas encore supprimées, cela ne soit pas devenu une évidence. Un devoir, pour les dirigeants de ces établissements, représentants de l’autorité de l’État.. On s’étonnera, ensuite, que tout un chacun ait quelques rancœurs envers nos fonctionnaires dont la mission est très importante, mais encore trop souvent mal employés.
Janvier sans neige. Bordel en mars( Les nouveaux dictons)
 

 

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 08:29
La page du jour de Jules Hostouley -  15/12/2012

   Posté le: 15/12/2012 08:15:01  
  

  Allez ! Signez là
Engagez-vous ! Rengagez-vous ! Qu’ils disaient…Pourquoi le conseil municipal, par la volonté de son Maire, tient-il à adhérer au plus vite au Syndicat des Sablons ? C’est ce qui préoccupe légitimement Félix
et LECHOJOVACIEN.
Donc, une adhésion sans débat. On voudrait faire voter au Conseil Municipal, une adhésion définitive au Syndicat des Sablons, à la manière d’un notaire venu recueillir les dernières volontés d’un mourant dans ses derniers instants. Notre Conseil Municipal serait-il moribond à ce point ? Hémiplégique le Conseil, pourrait-on dire ; paralysé dans son jugement et son pouvoir de décision, il en est réduit à expédier au plus vite ces dossiers embarrassants, mais d’une importance vitale pour le bien de notre commune. Sommes-nous encore en démocratie ? Une démocratie sans débat, sans dialogue, n’est plus une démocratie. Une dictature !! C’est ainsi que l’on nomme un régime autoritaire. Que remarque-t-on, lors de la dernière réunion du conseil Municipal? Un personnage politique, éminent, Monsieur Gérard Lemaître, président de la communauté de communes, est invité à venir donner au public, toutes informations utiles au sujet de la future adhésion au Syndicat des Sablons. Noble entreprise ! Mais on ne se donne même pas la peine de prévenir le public citoyen, de la venue de cet élu, lors de la dernière réunion du conseil Municipal. Un public bâillonné et muselé qui ne déplace plus pour assister aux débats stériles et souvent tourmentés du Conseil Municipal. Un public qui ne peut plus poser aucune question, à l’issue de la réunion, une fois que le conseil Municipal a débattu et voté les orientations nécessaires à la bonne gestion de notre commune. C’est là une attitude vraiment méprisante de nos élus envers un public qui possède, encore, heureusement, le pouvoir des urnes…Le pouvoir de renvoyer toute cette équipe à ses chères études, à l’issue d’un rendez-vous électoral, maintenant très proche. Une assemblée d’élus, dont le bilan sera revu en long, en large et en travers ; selon une formule nouvellement connue.
« La démocratie, c'est un code moral, qui repose en fait sur deux règles essentielles : parler vrai en campagne électorale et tenir parole une fois élu. »[ Mendès-France ]

 

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 06:58
La page du jour de Jules Hostouley -  03/12/2012
03/12/2012 06:40:35  
   Vers le conteneur à verre
Encore une débilité de nos autorités. Depuis près de 20 ans, a été organisée la collecte du verre. Le public avait pris l'habitude de rapporter ses verres dans les conteneurs prévus à cet effet.
Hé bien chez nous, la nouvelle communauté de commune organise le ramassage. En fournissant une quatrième poubelle. Une habitude éco citoyenne battue en brèche. Une bonne habitude qui avait été difficile à mettre en place. Par contre les Objets Encombrants ne sont plus ramassés que 2 fois par an. Des objets qui sont souvent très difficiles à déplacer pour la plupart d’entre nous.
Je pense que les déchets récupérables et recyclables devraient être rapportés dans des conteneurs appropriés, entreposés sur les lieux de consommation habituels. Une sorte de consigne.
Je ne suis pas centenaire, mais je viens d'une époque où beaucoup d'emballages ou contenants étaient consignés et rapportés chez le commerçant. Ils étaient pratiquement tous en verre ou en métal. Les consommateurs arrivent très bien à transporter, chaque semaine, des dizaines de kilos de denrées, de leur magasin vers leur domicile. Pourquoi ne rapporteraient-ils pas eux-mêmes, verres, bouteilles plastiques, boites de conserve, bombes aérosol, papier, carton etc ? Ils le font bien pour les piles, les ampoules à base de mercure, les médicaments périmés et autres cartouches d’imprimante. On a même remarqué des conteneurs à huile de vidange (disparus, eux aussi de la circulation). Il existe en certains endroits des conteneurs pour vêtements usagés.(emplacements très confidentiels). Et pourquoi ne pas installer les déchetteries près des Grandes Surfaces. Les communes et les collectivités locales font de très grosses facilités en termes de fiscalité et de cout du terrain pour faire venir ces Grandes Surfaces… Ces Grandes Salopes qui garnissent, à grand renfort de publicité, nos caddies, d’objet la plupart du temps inutiles et très polluants. Des déchetteries que les communautés de communes ont installé ou réinstallé à grand frais, une fois de plus, dans la nature (Porcheux). En ce qui concerne la collecte hebdomadaire de nos déchets, le personnel employé à courir derrière les camions de ramassage, serait mieux utilisé sur les lieux de collecte. C'est un métier très dangereux en termes de sécurité routière. Et beaucoup moins de gaz oïl serait dépensé pour la collecte en porte-à-porte. Devant chez nous le camion fait une marche arrière de plus de 200 mètres pour venir ramasser nos quelques kilos de déchets, une fois par semaine. Nous habitons à la sortie du pays. Je devine, que je vais susciter une tempête de protestations. Comment! On devrait rapporter nous-mêmes nos déchets aux abords du supermarché???? Et comment vont faire les plus âgés d’entre nous et les personnes à mobilité réduite ??? Ces personnes sont, malgré tout, bon an mal an, approvisionnées en denrées alimentaires et en biens de consommation. Et bien, certains de ces déchets recyclables peuvent très bien faire le trajet inverse. Sans passer par le camion de collecte de nos poubelles. Ce pourrait être une économie aux niveaux de nos impôts locaux, qui vont augmenter de plus en plus. Une économie de rejet carbone vers l’atmosphère (c’est à la mode en ce moment). Une économie de carburant. Un travail plus valorisant pour les agents du ramassage. Pourquoi faut-il que ce soit toujours la même catégorie de salariés qui soient obligés de ramasser et de nettoyer nos déchets et nos saletés ? Â chacun sa merde !

Un verre ça va, 3 verres... ça sera mieux dans le conteneur! (Tendance)

 

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 09:32
La page du jour de Jules Hostouley -  30/11/2012

  30/11/2012 09:22:19   
 

    Présidents courageux. Capitaines courageux
En mars 2012 notre Président promettait des cadeaux fiscaux à ses électeurs. Tous les présidentiables l'ont toujours fait. Aujourd'hui il est obligé de les étrangler, ces pauvres citoyens.. Enfants du socialisme. Il n'a pas eu le temps, comme en 1981, de les récompenser, ces sympathisants. La conscience populaire lui en porte déjà rigueur. Les Français n'aiment pas les politiques qui les obligent à être moins cigales. Mais un peu plus fourmis. Clémenceau, Héros Politique de la guerre 14, au sortir de cette guerre, eut une carrière politique écourtée. Raymond Barre, après avoir jugulé le Crédit ramena l’inflation dans des valeurs inférieures à 10% ; et du se contenter, par la suite, d’une carrière politique régionale, tout aussi méritoire, mais peu prisée du personnel politique à vocation « élitiste ». Dans ces années là, l’inflation galopait à plus de 14%. Impossible d’économiser…Les taux des livrets d’épargne n’atteignaient pas 10%. Dans ces conditions, on avait perdu des sous en mettant de l’argent de coté. Les épargnants reportaient leurs économies en investissant dans la « pierre », comme on disait à l’époque. Mais aucune maison n’était mise sur le marché. Ou si cela était le cas, à des prix astronomiques. Donc on achetait du terrain et on faisait construire. Les pieds dans l’eau ou à la montagne. La résidence secondaire faisait recette ; « Merlin Plage » aussi. Le chômage en était qu’à ses débuts. La dette de la France, insignifiante ; les économies des Français, aussi. Â partir de la « génération Mitterrand » des esprits avisés ont développé le système bancaire qui s’est mis à proposer de nouveaux produits d’épargne. Plus séduisants pour les épargnants. Dans le même temps les gouvernements successifs se sont attaqués à l’inflation et en la jugulant sévèrement, pour reprendre les termes de l’époque. Mais l’État du remettre dans le circuit privé, toutes les entreprises nationalisées, à grand frais, dans les gouvernements précédents. L’État a commencé à s’endetter lourdement pour indemniser un chômage dont il ne maitrisait plus le développement. Se soumettant aux marchés financiers, il a du abandonner certaines de ses prérogatives. En clair, il s’est affaibli ; n’étant plus vraiment le maître dans la maison France. Mais l’épargne des Français s’est accrue considérablement. L’inflation flirtant, bon an mal an, avec les 2/3 %. On recommandait, déjà, aux salariés de « faire leur retraite » en investissant dans les nouveaux et nombreux produits financiers et d’épargne. Le « Pékin moyen» se mettait à boursicoter, souvent maladroitement. Le chômage continuait son petit bonhomme de chemin. Un comique ouvrit une nouvelle chaine de distribution pour ventre vide. La rue découvrit une nouvelle race de « clodos ». SDF, furent-ils nommés pudiquement par les médias. Médias, qui s’écorchaient encore du stylo et mettaient souvent, leur mouchoir sur leur propre déontologie, lorsqu’il fallait disserter sur la montée grandissante de la précarité, du chômage et de la misère. Trois facteurs qui conduisirent, par voie de conséquence, à développer, considérablement l’insécurité dans la société, à un taux devenu intolérable pour tous. Un certain « Jospin » s’y vit déposséder, à cause de cela, d’une carrière politique pourtant brillante et prometteuse. Â l’époque, on se payait de mots et de formules alambiqués, pour dénoncer cette société de plus en plus injuste, qui se mettait en place. Tant la perspective de la faillite de la société de consommation, glaçait le cœur des plus endurcis de nos politiques et de nos médias. Quand est-il de nos jours ? Pas besoin de faire un dessin ; tout le monde peut gouter chaque jour, au fil des communiqués, la gravité de la situation. Tous peuvent assister à la fracture de la société ; cette dérive des continents en deux blocs, qui se repoussent… Les nouveaux riches et les « nouveaux pauvres » ; une formule qui fit recette il y a peu, encore. Les deux blocs qui partageaient le monde avant la faillite du socialisme à la « Soviétique » se sont mués en deux nouveaux blocs séparés, scandaleusement, par une misère de plus en plus grande. D’un axe « Est-Ouest » nous passâmes à une dure réalité géographique « Nord-Sud ». La boussole « sociale » ayant complètement perdu le Nord. C’est pourquoi nous supplions notre Président de tenir bon dans le maelström « politico-social » qui gronde de plus en plus fort chaque jour, afin de réformer les structures calamiteuses qui couchent le vaisseau France, en travers de la lame scélérate et mortelle, portée par les flots tumultueux de cette grave crise mondiale. Dut-il, non pas en perdre son Latin, mais se préparer à immoler sa carrière politique sur l’autel du courage et de la probité. Si tel était le cas, nous lui en sommes, déjà, par avance, reconnaissant.

Der Fliegende Holländer (déjà) L’histoire d’un capitaine qui ayant insulté le ciel se vit condamner à errer éternellement, sur les flots impétueux de l’océan. « Le Vaisseau Fantome » Opéra de Richard Wagner

 


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