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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 07:33
Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe
 Du temps au potager pour un moral toujours au beau fixe


Photocultiverunpotager

  | RONCHIN |
Une quarantaine de jardiniers cultivent leur parcelle au pied de l'autoroute, à l'entrée de la ville. Pour beaucoup c'est un loisir, pour d'autres une obligation. Bienvenue dans ces coins de nature qui font aussi pousser les liens humains et les souvenirs.


« Vous aimez les fèves ? Tenez, prenez aussi des oignons, vous mettez le tout dans un couscoussier avec une tomate et, quand on se reverra, vous m'en direz des nouvelles ! ». Aïssa est à la fois jardinier, cuisinier et thaumaturge. Sur sa parcelle de 200 m², le retraité de 64 ans fait pousser les quatre saisons à foison. Les fines herbes raffolent de ses bordures. La coriandre, pourtant peu amène dans les contrées septentrionales, étale à son aise ses vertes feuilles. Ses voisins : des navets blancs en forme de carottes.
Ici, on révise sa biodiversité. On met les mains dans la terre.
Un bienfait pour Aïssa qui y descend « deux à trois fois par semaine » de son appartement lillois. « Tous les jours, au moins une heure », pour ce père de famille, deux parcelles plus loin. « Je travaille dans le nettoyage, je commence tôt, alors en été, je passe tous mes après-midis ici ». Indispensable pour donner ces légumes « plus naturels » à ses quatre enfants. La semaine, il bêche, il bine, il sème puis il récolte. « J'aime bien le jardinage, même si c'est une contrainte. On peut cultiver pour seulement 30 E par an, ce serait dommage de ne pas en profiter », souffle le papa.
La parcelle est le poumon vert de la famille. « Aujourd'hui, on a fait un barbecue, avec un sandwich à la merguez », se régale Mohammed, 6 ans. C'était la première fois que la famille prenait ses aises au jardin, un jour férié. En fin d'après-midi, les parents, la belle-mère, les enfants, tout le monde a mis la main à la cueillette des petits pois. La maman insiste : pas question de repartir sans les salades. La convivialité est aussi une culture maison.
Un peu plus loin, Marie-Line fait visiter son coin de terre à Évelyne, une amie. Cette dernière s'extasie : les lignes de plants de tomates sont impeccables. pas une mauvaise herbe. « J'y ai passé la matinée avec mon père », confie la jardinière de 46 ans.
Quand Marie-Line se rend sur sa parcelle, c'est un peu comme si elle partait en pèlerinage. « Mon mari aimait cet endroit, il adorait jardiner. Jean-Pierre n'en a profité qu'un an, car il est décédé il y a deux ans », confie la jeune veuve. « Pour lui, je continue à l'entretenir du mieux que je peux. » Pas facile quand on travaille et qu'on vit seule. « Je ne cultive plus de pommes de terre, ou de carottes, trop d'entretien. » Marie-Line a adapté ses semis à sa situation familiale. « J'ai planté des tomates, des haricots : je n'ai qu'à me baisser pour les récolter ». Les petits pois, elle en donne des paniers entiers à ses amis, en congèle pour ses enfants. Et pour la génération d'après, elle vient d'installer un salon de jardin, près du cabanon. En espérant, cette année, ne pas être vandalisée : « En 2007, ils avaient cassé la serre qu'avait construite Jean-Pierre. Maintenant, j'y ai mis des fleurs ». Quand il fait beau, Marie-Line s'assoit dans son jardin et regarde pousser les glaïeuls. Ils fleuriront bientôt la tombe de Jean-Pierre dont l'esprit plane toujours sur le jardin. •
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PAR MARIE VANDEKERKHOVE

villeneuvedascq@lavoixdunord.fr PHOTOS LA VOIX
vendredi 18.07.2008, 05:01 - La Voix du Nord
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Avis de la rédaction
Des histoires simples.
Des drames aussi.

Le jardinage devient de plus en plus une nécessité économique..
Un besoin de naturel pour d'autres.
Un hobby passionnant pour la plupart. d'entre nous.

Le premier loisir pratiqué par nos concitoyen.
ça se passe comme çà du coté de l'autoroute.


Bienvenue Chez les Ch'tis..
W.S.
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tout à fait
        
 
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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 06:41
Les associations de plantes
 Vaste sujet.
Les associations de plantes sont multiples.


"Le poireau préfère les fraises "
Hans Wagner

Les meilleures associations de plantes .
Choisir de bonnes associations.

- Le persil est trop fort pour la laitue .
- Céleri et chou-fleur; une communauté idéale.
- Les roses et les carottes ne s'aiment pas elles mêmes.

- Pour les tomates , il en va tout autrement ; elles aiment les
emplacement où des tomates ont déjà poussées précédemment.

- Les limaces peuvent devenir une plaie , semer du cerfeuil peut aider.

- Les bactéries et les champignons nuisibles se multiplient plus facilement
dans les monocultures . Avec des cultures associés , ils se heurtent
rapidement à une limite, c'est à dire à une autre plante qu'ils n'arrivent
pas à envahir .(alternance des rangs)

- Dans les potagers, les plantes aromatiques et les fleurs sont non
seulement belles, mais attires également les abeilles, les papillons, des
coccinelles, et divers autres auxiliaires, qui sont tous utiles à la croissance
et à la santé de nos plante


  Photo rustica

@+
WS

Doc Le jardin de St Martial
  
        
 
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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 18:53

 

 Bulletin Météo du 14 mars 2013
      

  

 

Ce matin  à Jouy Hier 13/3/2013
    
 -3°C 

 -8°C   

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  3°C     -5°C 
 
                     
     
     
 
 
  

 
     
      
  Cette  nuit du 12 au 13
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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 07:05
L'Ambroisie

Surnommée « herbe à poux » au Québec où on l’accuse d’être à l’origine de bon nombre de nuisances, l’ambroisie intègre ce que l’on appelle communément les « mauvaises herbes ». Mais si sa fâcheuse habitude de s’installer là où on ne l’attend pas était le seul reproche à lui adresser, il n’y aurait pas lieu d’en parler.
Espèce à part, l’ambroisie se distingue par le fort pouvoir allergisant de son pollen, devenu la hantise des personnes sensibles. Si l’on s’en réfère aux dires du Ministère de la Santé, « quelques grains de pollen par mètre cube d’air » suffisent à déclencher des symptômes caractéristiques. Il s’agit le plus souvent de rhinite allergique, laquelle se traduit par un écoulement nasal, l’apparition de conjonctivites et de gênes respiratoires de gravité variable. En France, on estime que 6 à 12 % de la population exposée est allergique à l’ambroisie, ce chiffre variant selon la zone ciblée.
Incommodante, cette plante l’est d’autant plus qu’elle est extrêmement envahissante. Largement implantée en région Rhône-Alpes, elle a depuis investi les départements voisins des vallées de la Saône et du Rhône. Si les plaines et les collines de basse altitude lui sont propices, cela ne l’empêche pas de se fixer jusqu’à plus de 800 mètres d’altitude.
Elle colonise des types de terrains variés. Il n’est pas rare de l’apercevoir sur les bas côtés des routes, sur les ronds-points ainsi que sur les bordures enherbées (1) des champs. Elle affectionne également les aires incultes jalonnant les zones commerciales, de même que les sites laissés en friche en attente de construction. Enfin, elle s’immisce aisément au sein des cultures agricoles, se répandant dans la plus grande discrétion avant d’être découverte lors de la récolte. Il est alors trop tard pour tenter de limiter la propagation de la plante, la coupe des moissonneuses favorisant la multiplication des tiges.
Une contamination à laquelle chacun contribue. A notre insu, nous aidons cette plante à se disséminer en la transportant à l’état de graines sous la semelle de nos chaussures et sous les pneus des voitures particulières et des véhicules d’entretien. Une fois déposées, ces graines profitent du climat actuel, alternant périodes chaudes et pluvieuses, pour se développer rapidement.
Noircissant encore un peu plus le tableau, les moyens de lutte contre l’ambroisie sont restreints. Si la floraison a déjà eu lieu, le recours à l’arrachage ou au fauchage s’impose.
Mais la meilleure option consiste à intervenir avant la floraison, laquelle commence à la mi-août. Pour plus de sûreté, il est recommandé de détruire l’ambroisie dès les mois de juin-juillet afin de limiter au maximum la reproduction de la plante et d’éviter la production de son redouté pollen.
Conscients que seule une action conjointe et organisée pourra endiguer ce phénomène, le Ministère de la Santé, la DRASS Rhône-Alpes et la DDASS de l’Isère ont prévu de se rencontrer le 21 novembre prochain afin d’arrêter un plan de lutte efficace.

Cécile Cassier

 
 
                                         
                 


        
 
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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 06:33

 

Echanges de bons procédés
 
L'AIL
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En plantant l'ail entre les fraisiers, ceux-ci seront protégés contre la pourriture grise.
L'ail se récolte en juillet-août.
Il laisse alors la place pour repiquer les poireaux, qui profiteront du voisinage des fraisiers et assureront à leur tour la protection contre la pourriture grise.

L'OIGNON.
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Indispensable en cultures associées, l'oignon évite à un grand nombre de plantes d'être exposées aux maladies cryptogamiques comme le mildiou ou pourritures.

LE CHOU.
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Excellente plante compagne de nombreux légumes, le chou lui-même protégé par l'odeur forte du céléri et de la tomate.
Ces deux plantes tiennent éloignée la piéride qui s'abstient de venir pondre sur les feuilles de chou.

LA SALADE.
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Semée au printemps, la salade s'associe particulièrement bien avec les radis car elle repousse l'altise, dangereuse pour ces derniers. La salade ne doit pas avoisiner avec du céléri ou du persil, deux plantes trop fortes pour elle.

LA CAROTTE.
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Grâce à sa longue racine pivotante, la carotte ameublit le sol en profondeur et éloigne les pucerons.
Elle est complémentaire de l'oignon et du poireau qui éloignent la mouche de la carotte.



Variation Modérateur
        
 
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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 06:30
Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces
 Binage et sarclage : les méthodes les plus efficaces

Attention, travail de longue haleine en perspective ! Car le sarclage et le binage sont deux tâches essentielles à l'entretien du potager, mais pas les moins sportives.
Sarcler signifie arracher les plantes sauvages, racines comprises, à la main ou en s’aidant d'un outil de jardinage (fourche-bêche, sarcloir et houe surtout). Si on le pratique avant qu'elles ne soient montées à graine, on les empêche de se propager dans le jardin.

Quant au binage, il permet d'arracher en nombre les jeunes herbes, pour moins d'efforts que le sarclage. L'opération se fait avec une binette, long manche muni de pointes courbes, qui va gratter le sol. Pratiqué régulièrement, il a en outre pour but d'aérer le sol, laissant mieux pénétrer les eaux de pluies, et limitant ainsi l'évaporation.

Par temps chaud, on peut laisser à terre les plantes arrachées. En se désagrégeant, elles nourriront le sol. Mais si la terre est encore humide, mieux vaut les jeter au compost, pour éviter qu'elles ne s'enracinent à nouveau.

Texte & photo

Cela a toujours été, pour la plupart du temps, le travail des femmes.
Sarclage à la main ou avec un outil.
Binage et sarclage sont très dommageables pour le dos.
Travail très pénible..
Bien souvent encore plus fatiguant que le bêchage.
Ouvrage pratiquement toujours exécuté par les hommes.
j'ai toujours le souvenir de ces groupes de travailleurs saisonniers qui binaient les champs de betteraves
dans les années 50 et même, encore dans le début des années 60.
Aujourd'hui les nouvelles techniques de semis et de production de semences ont fait disparaitre ce labeur harassant.
WS
        
 
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 18:14
Farine de Gluten en herbicide
 Farine de Gluten en herbicide
Utilisation d'un paillage et d'un herbicide naturel en culture hors-sol




  La réduction du nombre d’herbicides autorisés et l’augmentation des contraintes liées à leur utilisation incitent les producteurs à rechercher des solutions alternatives à leur usage. Cette étude présente les résultats concernant la rémanence et l’efficacité d’un herbicide naturel de post-levée précoce, la farine de gluten de maïs. Elle évalue également l’efficacité d’un paillage à base de cosse de sarrasin. En conditions idéales de dégradation, la farine de gluten de maïs a une rémanence d’au moins 2 mois avec une période optimale d’efficacité entre 7 à 12 jours après application. En conditions de production extérieure, elle a réduit de 40% le développement des adventices comme l’herbicide Gardenet® Granulé. La cosse de sarrasin l’a réduit de 90%. Ces deux produits sont des solutions alternatives efficaces à l’usage d’herbicides de synthèse

Texte et photo
        
 
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 16:42


 Bulletin Météo du 13 mars 2013
      

  

 

Ce matin  à Jouy Hier 12/3/2013
    
 -8°C 

-3°C   

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cet  après-midi  Hier après-midi
  -5°C     -3°C 
 
                     
     
     
 
 
  

 
     
      
  Cette  nuit du 12 au 13
  La nuit d'hier
            
    
            
    

    
            

  
14mm Total
171mm
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 Tot.

2012
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 10:01

 

 Les paillettes de lin

 Les paillettes de lin

 le sol sous les arbres est ainsi protégé.

 Sous-produit du lin.
En mulch ou en paillage du sol, au potager ou au jardin d'ornement.
Epaisseur de 5 à 10 cm afin .
Limite les arrosages.
Pas de mauvaises herbes
A l'automne ou au printemps, incorporation dans le sol.
Allégement des sols.
Fruits et légumes protégés de la terre quand il pleut.
Les vers de terre prolifèrent sous ce revètement.
Pas d'acidification.
Pas de toxine pour les plantes
Les écorces de pin, sont soupçonnées de cela pour les rosiers.
Très décorative.
En hiver isolant thermique.
Ne s'envole pas.

  

 

Les jardins communaux en font un grand usage.

  Photos Rond-Point  BeauvaisWS
 
        
 
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 08:21

 

Lierre terrestre

 Lierre terrestre
Le jardin  est envahi par du lierre terrestre

Arrow
http://unjardinblanc.xooit.fr/t2319-Lierre-terrestre-cochenille-et-iris.htm…





Allo

Surtout dans le pied des haies Il fini par étouffer les branches de la haie.
Sur les murs il s'agrippe grace à de petites ventouses
WS


Pour m'en débarrasser je ne cherche pas à l'extirper de la haie.
Trop de ramifications.
Risque d'endommager la haie.
Oubli de certaines parties du lierre.

Je coupe à la base les grosses branches du lierre envahissant.
En conséquence la partie aérienne du lierre fini par mourir.
Elle se transforme alors en compost et va servir de nourriture à la haie.
On peut alors, si on le désire, arracher les grosses branches.
WS
  


 


 

Pensez-vous que le lierre sur la maison apporte de l'humidité ?
WS
  

        
 
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