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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 05:16
  Le marcottage en vidéo
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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 08:21
L’herbicyclage : l’écologie sans se fatiguer
  L’herbicyclage : l’écologie sans se fatiguer
Les patrouilleurs, les élus, les membres du GPAT et de la Maison des Jeunes ont présenté leur initiative estivale le 21 juin dernier.


Les patrouilleurs informeront les Terrebonniens tout l’été

L’herbicyclage, c’est la technique qui va réconcilier écologistes et paresseux. Elle consiste à laisser l’herbe fraîchement tondue étalée à même le gazon, plutôt que de se fatiguer à en ramasser les résidus. Six patrouilleurs de la Maison des Jeunes, mandatés par la Ville et chapeautés par le GPAT, sillonneront à vélo les différents quartiers de Terrebonne cet été pour recommander cette pratique aux citoyens.

C’est que l’herbicyclage a des vertus écologiques. «Cela diminue la pousse de la mauvaise herbe, renforce la santé de la pelouse et permet de faire des économies d’eau», avance le conseiller municipal Stéphane Berthe.

Les résidus de tonte laissés sur place n’ont pas à être ramassés, transportés ni enfouis par les municipalités, permettant ainsi une réduction de l’émission de gaz à effets de serre, et une diminution des coûts liés à la manipulation de ces résidus.

De plus, la réduction des besoins en arrosage après la tonte autorise un gain de temps non négligeable, qu’il est possible d’employer à faire la sieste, par exemple. Le défi du développement durable est à ce prix.

Les patrouilleurs, eux, ne ménageront pas leurs efforts, puisqu’ils pédaleront tous les jours jusqu’au 25 août. Présents dans les rues de la ville, les camps de jour et les grands évènements, ils sensibiliseront plus de 26 000 foyers aux vertus de l’herbicyclage, mais aussi de nombreux autres gestes quotidiens bons pour l’environnement.

«Le virage vert ne pourrait s’effectuer avec succès sans la participation active de la population», a expliqué Jean-Luc Labrecque, président de la Commission du développement et de l’environnement.

Le trait d'Union
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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 17:35
  Réussir un purin d’ortie
  Réussir un purin d’ortie
 (fiche technique)

Il y a pas mal de recettes sur internet concernant le purin d’ortie. Nous ne vous donnons donc pas sur cette fiche une nième version de la recette, mais plutôt un complément que nous espérons utile d’informations et de règles essentielles, testées par les auteurs de Purin d’ortie et Cie, et par nous-mêmes récemment.
Mais laissons préalablement et respectueusement la parole à Monsieur Dominique Bussereau, ministre de l’agriculture : « Les préparations effectuées par un particulier pour une utilisation personnelle, telle que le purin d’ortie, ne rentrent donc pas dans le cadre d’une mise sur le marché. En conséquence, la promotion auprès des particuliers de procédés naturels ou le fait de donner la recette de telles préparations ne sont pas interdites. Les produits naturels traditionnels, élaborés à la ferme ou au jardin, peuvent donc continuer à l’être sans obligation d’autorisation préalable. »

Bien. Maintenant qu’on a l’autorisation du ministre, on peut commencer.

Voici une recette classique de purin d’ortie, ici . C’est un peu court, la fabrication du purin d’ortie est une affaire sérieuse, et nous nous permettons d’ajouter quelques conseils et règles essentiels :
Règle n°1 : un volume suffisant. Une vingtaine de litre est un bon début. Une cinquantaine de litres représente une masse satisfaisante, permettant notamment d’amortir les variations de températures auxquelles sera soumises le purin pendant la fermentation.
Règle n°2 : un récipient adéquat. Un grand seau en plastique noir est un bon récipient. Une poubelle de rue classique avec son couvercle est parfaite. Il faut prévoir un récipient suffisamment profond, et surdimensionné par rapport à la quantité voulue : 30l pour un purin de 20l, 80l pour un purin de 50-60l, etc.
Règle n°3 : de l’eau de bonne qualité. L’eau ne doit pas être trop acide ou trop basique, ni trop chlorée. Un PH légèrement acide est bien. Ne pas utiliser d’eau d’un puits pure en terrain calcaire, elle risque d’être trop basique. Si vous utilisez de l’eau du robinet chlorée, laissez-là décanter quelques jours avant utilisation. Nous avons testé un quart d’eau du puits et trois quarts d’eau de pluie à Montreuil, ça a bien fonctionné.
Règle n°4 : une température adéquate. Au-dessous de 15°, la fermentation sera très lente. Au-delà de 25°, le risque de putréfaction est important. Il est important de retenir que le purin d’ortie n’est pas une putréfaction, et que, comme pour un bon vin, beaucoup de son intérêt vient des qualités acquises à la fermentation.
Règle n°5 : pas trop d’orties, mais de bonne qualité. Les orties ne doivent pas être montées en graines, éviter les tiges lignifiées. Ne pas dépasser 1kg de plantes pour 10l d’eau. Etre plutôt un peu en dessous qu’au dessus. Le purin que nous avons fait en octobre contenait un peu moins de 4kg pour 50l.
Règle n°6 : s’occuper de son purin. Remuer le mélange au moins tous les deux jours, avec un bâton, pendant quelques minutes. Surveiller son évolution. La fermentation se traduit par une mousse blanche en surface.
Règle n°7 : stopper le purin au bon moment. Quand la fermentation s’achève, la mousse en surface disparaît. Il est alors temps de stopper le processus, et de filtrer le purin. Il est important de ne pas attendre au-delà. Attention, si la température du mélange est élevée, la fermentation peut durer moins d’une semaine. Les deux semaines données habituellement ne représentent qu’une indication.
Règle n°8 : filtrer juste ce qu’il faut. Ne pas filtrer trop finement, le purin perdrait une partie de ses propriétés. Filtrer cependant suffisamment pour que le purin ne putréfie pas,
Règle n°9 : stocker dans de bonnes conditions, dans des récipients hermétiques et opaques, à l’abri de la chaleur et du gel. L’idéal serait une cave à vin.
Règle n°10 : lire Purin d’ortie et compagnie, aux éditions de Terran. Tout y est indiqué en détails, pour le purin d’ortie, mais aussi pour l’utilisation de quelques dizaines d’autres plantes.
Texte et photo Le sens de l'humus


Une recette plus précise que les autres.
WS

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 16:50
Purin d'ortie
  Purin d'ortie
« C’est ma plante fétiche »


Marc Kauffmann, spécialiste reconnu du jardin au naturel, fabrique chaque année 250 litres de purin d’ortie et enseigne aux jardiniers l’art de préparer des purins de diverses plantes. Photo Thierry Gachon
Dans son potager et aux jardins familiaux de Riedisheim, les récoltes sont abondantes. Sans jamais employer d’engrais chimiques ni de pesticides. Le secret de Marc Kauffmann : le purin d’orties.
« C’est ma plante fétiche », annonce Marc Kauffmann, président de l’association Zone verte de Riedisheim, qui gère les jardins familiaux locaux et s’investit dans la défense des collines des environs.
Dans ces jardins, l’ortie a sa place réservée. Pour favoriser la biodiversité : des papillons y pondent leurs œufs, des oiseaux en mangent les graines. Et les jardiniers y trouvent l’ingrédient de choix pour fabriquer, gratuitement, leur purin d’ortie. La base du jardin au naturel. Ce n’est pas un engrais mais un stimulant qui permet la régénération de la flore bactérienne du sol. « Il active la croissance des plantes et stimule leurs défenses immunitaires. C’est un bon activateur de compost : il favorise la décomposition des matières organiques. »
Stimulant et répulsif
Les doryphores, les pucerons verts et noirs n’aiment pas ce purin. Celui-ci agit comme un répulsif, permet de lutter contre les vers de la pomme, de la carotte et du poireau, et retarde l’apparition du mildiou de la tomate.
Comment le fabriquer ? Marc Kauffmann plonge 1,5 à 3 kg d’orties fraîches, avec leurs racines, dans 10 litres d’eau de pluie. Il remue chaque jour, et laisse fermenter dans le baril qu’il couvre, mais non hermétiquement : « Attention aux odeurs. Si votre voisin ne vous parle plus depuis belle lurette, soyez sûr que pendant la fermentation, vous entendrez parler de lui ! » dit-il en riant.
La fermentation dure deux à trois semaines, selon la température ambiante. « Tant qu’un voile de mousse blanche flotte à la surface, le processus de fermentation n’est pas terminé. »
Une fois prêt, le purin ne dégage plus d’odeurs nauséabondes et se conserve toute la saison dans son baril, ou dans des bouteilles. Marc Kauffmann le dilue à 20 % pour pulvériser les feuilles, avec si possible du petit-lait ou un autre mouillant afin que les principes actifs se fixent sur les feuilles. Il filtre soigneusement pour éviter de boucher la buse du pulvérisateur. Pour l’arrosage au sol, il le dilue à 50 %.
Ce cocktail d’éléments organiques et minéraux, parmi lesquels l’acide formique, peut être utilisé sans risque : il n’est toxique ni pour les personnes, ni pour les plantes, ni pour la faune. Les maraîchers bio et les services d’espaces verts engagés dans la démarche « zérophyto » l’utilisent de plus en plus.
Texte et photos Alsace.fr



Un stimulant plus qu'un engrais.
Un élixir pour les plantes.
Une matière première facile à se procurer.
Le bord des routes en regorge
WS
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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 08:12
Une bande de citrons en grande conversation
     Une bande de citrons en grande conversation


Pour égayer un plat de fête garni d'huitre et de fruits de mer.
Très facile à faire avec un couteau bien aiguisé

Bon appétit!A très vite WS  Un jardin blanc
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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 06:07
Paillage d'été
  Paillage d'été
La période idéale pour réaliser un paillage d’été est fin avril, début mai. Attendez que le sol soit réchauffé; désherbez et recouvrez quand il est humide.
Si votre jardin est vraiment envahi par les mauvaises herbes, intervenez plus tôt, en février par exemple, quand elles sont encore insignifiantes. Cette installation hâtive est intéressante aussi car plus aisée (les plantes de l'année n'étant pas encore en place).
Enfin, mieux vaut tard que jamais ! Si vous plantez des arbustes en containers, ou réalisez un massif en début d'été, paillez quand même ! Le bénéfice sera réel vis à vis des arrosages.
Paillage d'été

Je met des feuilles de l'année précédente.
les tontes de haies broyées de l'année en cours.
Accessoirement de la paillette de lin (il faut l'acheter)
Des écorces de pin très fines (exclusivement en bordure florale)
Les gros résidus du tas de compost.
Parfois les tontes de gazon fraiche.( le reste sur le tas de compost; cela active la décomposition des parties sèches en élevant fortement la température.)
WS

Barre Oeuil
 Faites gaffe quand même aux indésirables de toute nature qui se réfugient sous ce paillage.
Escargots & limaces.
Petits rongeurs
Merles qui fouillent ce milieu vivant riche en petits lombrics 
WS
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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 07:57
Assaut des abeilles
   Bonjour ,un peu de soleil,quelques jacinthes mis à la porte au soleil et vroummmmm!!
Assaut des abeilles..

Et ici,en regardant bien,vous voyez des abeilles qui ont déjà des valises à leurs pattes,elles trouvent déjà les coquines!!!

Et encore une dernière.... quelle joie de les retrouver!!!



A bientôt
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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 07:29
Rencontre avec les soeurs Gombault
  Rencontre avec les soeurs Gombault...

C’est un regard nouveau sur les conifères que nous livrent Marie-Laure et Pascale, à la pépinière des Laurains. Une entreprise à la pointe dans un village de l’Aube.


Primées sur les fêtes des plantes pour la qualité de leur stand et de leurs adorables petits sujets, elles ont le sourire aux lèvres en parlant de conifère, « l’arbre contemporain par excellence », selon Pascale. Marie-Laure non plus ne ménage pas ses éloges : « un graphisme parfait, pas du tout monotone ! Les conifères changent de couleur avec la pousse de printemps, avec le gel à l’automne ou en hiver. Leurs boutons sont merveilleux, et les fruits durent des mois. ».
Méritaient-ils d’être traités comme des joyaux ? Elles l’ont fait avec le Conifère Bijou, un concept qui marie une variété de petit développement, élevée et toilettée à la pépinière, à un contenant réalisé sur mesure avec des matériaux naturels du terroir de l’Aube.













Photos & textes Maisons & décos
WS
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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 12:53
Joseph et son poireau
  Joseph et son poireau

 

Bretagne: le plus long poireau certifié « bio »
Incroyable mais vrai !!!!!!!!!!

Un poireau d’1,70m certifié sans fortifiant chimique vient d’être récolté dans un jardin à Plédran, petite ville des Côtes d’Armor près de St Brieuc, nous apprend Ouest-France.


Le jardinier chanceux se prénomme Joseph. Il est même surnommé José Bové et est coutumier des légumes insolites: il a déjà récolté par le passé une pomme de terre en forme de chien, une tomate d’1 kilo, et un navet en forme de cœur.
Soucieux de préserver son précieux trésor, Joseph a remis en terre son trophée en espérant qu’il fasse des petits…

WS   Un jardin blanc vive Xooit
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 15:56
Au jardin d''Adoué 20 & 21 avril 2013
 
Les 20 & 21 Avril 2013

Au jardin d''Adoué



La pépinière est nichée au sein d’un jardin d’un ha environ qui s’est constitué en plusieurs étapes, au gré des opportunités tant humaines qu’économiques. Tout n’est d’ailleurs pas achevé, loin s’en faut, (mais un jardin l’est-il jamais ?) et chaque hiver nous amène son lot de gros travaux. La pépinière, le jardin et ses jardinières continuent leur progression sereine et toujours passionnée en maintenant le cap sur la qualité, la cohérence et le respect de l’environnement.
Voir la suite ici
 
   
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