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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 07:42
Gare à la truffe chinoise
 
La truffe chinoise doit quand même avoir des qualités culinaires intéressantes
Parce que la truffe Française, je n'en ai jamais mangé et n'en mangerais jamais.
Réservé à une élite fortunée. Trop cher pour moi....

Peut-être que je pourrais gouter la truffe Chinoise...Moins chère....Plus dans mon budget...

Mais à condition qu'on ne la confonde pas avec la truffe Française.
Là c'est pas gagné, dans un système qui est incapable de mettre au pas les fraudeurs, escrocs, magouilleurs, criminels, faussaires et autres délinquants en tout genre......
WS

sujet remixé Sujet publié sur HéberGForum Mabul : Mort

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 06:58
La France manque de vaches

 

 pour augmenter sa production de lait

Au 1er janvier 2008, les prix du lait ont augmenté de 37 % par rapport au 1er janvier 2007
  Le monde réclame du lait et les prix se sont envolés en 2007. Pour calmer les tensions, la solution paraît simple : augmenter la production. Seulement voilà, après des années de maîtrise de l'offre, voire d'incitation à la baisse, les producteurs ne peuvent pas toujours augmenter les volumes du jour au lendemain. C'est le cas en France.
"Il y a quatre mois, j'ai commandé à mon marchand de bestiaux des génisses ou des vaches, il n'a rien trouvé", relate Jean-Louis Belloche, éleveur laitier dans l'Orne. Il souhaitait profiter de la possibilité ouverte en septembre 2007 par le ministère de l'agriculture d'augmenter son quota de 10 % pour la campagne qui court jusqu'en avril. Mi-décembre, les volumes ne se redressant pas, le ministère a autorisé une hausse de 15 %. Mais sans vache en plus, M. Belloche ne peut rien faire.
Chaque trimestre, en 2007, le prix du litre de lait payé au producteur par rapport à la même période de 2006 a augmenté : de 0,8 % au premier trimestre, 1,2 % au deuxième, 6,5 % au troisième et enfin 20 % au quatrième (7,7 % sur un an). Pour le premier trimestre 2008, producteurs et industriels recommandent une hausse de 37 % au 1er janvier.

M. Belloche et ses associés, qui produisent 40 000 à 50 000 litres par mois, vont toucher 47 euros de plus qu'en décembre 2007 pour 1 000 litres... et 103 de plus qu'en janvier de la même année. Selon l'Office de l'élevage, le litre devrait en moyenne être payé 34,4 centimes en 2008, contre 28,8 en 2007 et 26,7 en 2006.

" On n'a jamais connu de telles hausses", lance Thierry Roquefeuil, producteur dans le Lot. "Début 2007, certains se demandaient s'ils trouveraient preneur pour leur lait. Tout a changé en huit mois. Même les meilleurs experts se sont plantés", résume Régis Chevalier, éleveur dans l'Orne et vice-président de la Fédération nationale des producteurs de lait.

LA VIANDE PRIVILÉGIÉE

La flambée des prix s'explique d'abord par la hausse de la consommation européenne de fromages et de la demande de lait par les pays d'Asie et du Moyen-Orient. Elle s'explique aussi par une offre en baisse alors que l'Europe n'a plus de stocks. A 126 milliards de litres, la collecte européenne est au plus bas depuis quinze ans : il a manqué 2 milliards de litres lors de la campagne 2006-2007, et le déficit devrait s'élever à 3 milliards pour la suivante. Les producteurs ont été nombreux (5 000 par an en moyenne) à quitter une profession qui était encore il y a quelques mois en manque de perspectives. Entre 2003 et 2006, les prix français ont baissé de 10 %. Certains se sont donc reconvertis dans les céréales, une activité porteuse et moins pénible car elle n'oblige pas une présence pour la traite deux fois par jour, 365 jours par an.

D'autres ont privilégié la production de viande. Quand un veau femelle naissait, ils le destinaient donc à la boucherie. Ou alors ils le laissaient grandir pour le croiser ensuite avec des taureaux limousins ou charolais pour faire de la viande, plutôt qu'avec des primholsteins ou des normands pour faire du lait. Et personne ne s'alertait, avant mi-2007, que la France, deuxième producteur européen avec 23 milliards de litres derrière l'Allemagne, ne remplisse plus son quota.

"En septembre, nous avons craint que la campagne 2007-2008 se termine en avril sur un déficit de 900 millions de litres. Les volumes augmentant ces dernières semaines, il devrait s'élever à 600 millions, comme l'année précédente", explique le ministère de l'agriculture. Et ce malgré les hausses de quotas individuels. Selon les professionnels, il manque de 2 % à 3 % de vaches, soit entre 75 000 et 115 000, et il faudra au moins dix-huit mois pour reconstituer le cheptel, le temps que les veaux femelles naissent et grandissent.

A Bruxelles, la Commission propose désormais d'augmenter en avril de 2 % les quotas européens, instaurés en 1986 pour résorber la surproduction. Si son projet voit le jour, il manquera 800 000 vaches en Europe. Aujourd'hui, on en trouve peu à vendre et elles valent cher : de 1 800 à 2 000 euros la génisse par exemple en Normandie. "En janvier 2007, j'en ai vendu cinq deux fois moins cher que ce qu'elles valent aujourd'hui", se souvient M. Roquefeuil.

En attendant, pour augmenter un peu leur production, les éleveurs donnent plus de céréales et de protéines à leur troupeau, ou conservent les vieilles vaches qu'ils auraient d'ordinaire envoyées à l'abattoir après quatre phases de lactation. Mais ils restent prudents. Chacun craint un retournement du marché si tous se mettent à produire plus.

Les industriels estiment que la nouvelle hausse devrait se traduire par une augmentation des prix des produits laitiers de 5 % à 10 % pour les consommateurs. Les entreprises doivent accepter les hausses pour garantir leurs approvisionnements, d'autant que certain producteurs préfèrent livrer leur lait aux Espagnols, qui payent plus cher. Ailleurs en Europe, les producteurs reçoivent 40 centimes le litre, voire 45, contre moins de 30 centimes en France en 2007.

L'an dernier, selon le ministère de l'agriculture, le revenu des producteurs laitiers, entre la hausse des céréales et de l'énergie, aurait encore baissé de 4 %. Il pourrait enfin remonter en 2008.

 

Laetitia Clavreul Le Monde.fr 8 janv 2008 Texte Intégral



Sans commentaire....

 

 

 


 






Le prix du lait, de mal en pis
30/07/09 à 16h35
La publication de données relatives à l’évolution des prix et des marges dans le secteur du lait élaborées par le groupe de travail mis en place le 1er juillet 2009 clarifie mais ne résout pas la crise que traverse la filière lait.
Ces données rendues publiques par le comité de pilotage de l’Observatoire des prix et des marges sont complétées par les résultats de l’enquête conduite par la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) auprès de l’industrie laitière et des centrales d’achat sur le lait UHT, le yaourt nature et le beurre, pour les marques nationales ou de distributeur (MDD). Les données rassemblées par FranceAgrimer précisent les prix aux différents stades de la production agricole, de la transformation industrielle et de la distribution pour plusieurs produits de consommation courante (lait UHT demi-écrémé standard, yaourt nature, beurre, fromage emmental), ainsi que pour des produits dits « industriels » (beurre industriel, lait en poudre et lactoserum).
Lever le voile
Bruno Le Maire, ministre de l’Alimentation, et Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé du Commerce et de l’Artisanat s’étaient engagés sous la pression des acteurs de la filière laitière à publier l’ensemble des données concourant à la formation du prix des produits laitiers sur le site de la DGCCRF www.dgccrf.bercy.gouv.fr/concurrence/prix/observatoire_prix.htm). Si la démarche louable répond à une attente forte des professionnels comme des consommateurs, il apparaît que les marges brutes unitaires de ces produits sont établies aux stades de la transformation industrielle et de la distribution. Selon Eric Besson, secrétaire d’Etat chargé de la prospective et de l’évaluation des politiques publiques, auteur d’un rapport en décembre 2008 : « Les prix de détail apparaissent pratiquement indépendants des prix agricoles. L’introduction des marques de distributeurs, le hard discount, les premiers prix exercent une pression à la baisse sur les marges des industriels, inégalement répercutée sur les prix payés par les consommateurs. Les marges de la distribution sont parfois importantes. » La longueur de la chaîne d’intermédiaire, mais aussi l’identité des intermédiaires (grossiste ou centrale d’achat pour la grande distribution) peut influencer significativement le niveau des prix finaux. On peut ainsi trouver des écarts de prix atteignant 10 à 15 % du prix final, 20 à 30 % du prix payé par le producteur. En France, ce sont les coopératives qui supportent les hausses de prix des éleveurs et la pression sur les marges exercées par les distributeurs.
Des distributeurs acculés
Pour les distributeurs, le son de cloche diffère quelque peu. Au-delà des difficultés à répercuter l’augmentation du prix du lait, c’est l’extrême volatilité des cours du lait en poudre et de ses dérivés qui affecte certains fabricants. Les fromagers, les producteurs de beurre et de produits laitiers en sont très dépendants. Et les prix ne sont guère faciles à prévoir, dixit les intéressés. En janvier 2008, le prix du lait a touché, en France, un plus haut historique à 398 euros les 1.000 litres. Sur l’équivalent d’une année, la hausse a atteint 38 %, près de deux fois plus que le précédent record d’inflation (22,5 %) qui remontait au mois de novembre 1959. Le Groupe Bel, père de La Vache qui rit, a vu l’an passé son résultat net part du groupe pratiquement divisé par deux (– 48,4%), à 49,2 millions d’euros.
Le deuxième groupe fromager français, Bongrain, a lui aussi été affecté par la hausse de 17 % du prix du lait en France (reparti à la baisse depuis). Du coup, le bénéfice opérationnel courant du producteur du Caprice des dieux s’est effondré de 43,3 %, à 86,5 millions d’euros. Cependant, le lait n’entre qu’à hauteur de 40 % environ dans le prix des produits laitiers. Et selon les enquêtes menées sur la période 2002-2007, il apparaît que la baisse du prix du lait n’a jamais été répercutée sur le consommateur, mais à l’inverse la hausse de 2007 l’a été intégralement.

Arrow http://www.francesoir.fr/argent/le-prix-du-lait-de-mal-en-pis







Mardi 29 septembre 2009 2 29 /09 /2009 06:30
Crise du lait : C’est le capitalisme qui déborde !



Depuis le lancement de la « grève du lait » le 10 septembre pour protester contre la chute des prix et la dérégulation du marché souhaitée par Bruxelles, les producteurs ont multiplié les actions en France et en Europe.

Après la rencontre de Bruno Le Maire avec les banques, les producteurs de lait en France ne se voient proposer que des prêts à remboursement différé de 250 millions d’euros alors qu’ils sont déjà surendettés.
Ces annonces vont se traduire en asphyxie dans les campagnes, pour les producteurs, condamnés à alourdir les charges sans augmenter leurs revenus.

La commission de José Manuel Barroso refuse toujours la discussion sur l’augmentation des prix du marché alors que les éleveurs laitiers, revendiquent un prix de 0,40 € le litre minimum, simplement pour vivre. Pour le paysan livrant son lait au prix mondial, comme pour le milliard d’êtres humains affamés, c’est le capitalisme qui déborde !

L’agriculture doit être extirpée de la logique de prix mondiaux conduite par l’OMC. L’Europe doit se doter d’outils de gestion des volumes, et de répartitions par exploitation après 2015.

Le PCF demande à ce que la France et l’Europe prennent leurs responsabilités face à cette « crise laitière » :

- Instauration d’un prix minimum indicatif européen 0,40 € le litre de lait
- Partager les bénéfices entre producteurs, industriels et distribution sans alourdir le ticket de caisse du consommateur
- Encadrer des marges de la grande distribution, par l’outil coefficient multiplicateur, fixé par décret.

Par ailleurs, l’attribution des références laitières doit encourager les jeunes agriculteurs les plus modestes.
L’avenir de la filière laitière dépend de l’orientation en faveur de produits de qualité, de valorisation du savoir faire des territoires, et de création de valeurs ajoutées.

Marie-George BUFFET, Secrétaire Nationale du PCF, Pierre LAURENT, Coordinateur national du PCF et Xavier COMPAIN, Responsable de l’agriculture au PCF se rendront, mardi 29 septembre 2009, en Ille-et-Vilaine à la rencontre de producteurs lors d’une visite d’exploitation et détaillera ses propositions.






Prix du lait : producteurs et industriels d’accord
France Info - 30 mars 2010



Producteurs et industriels ont trouvé un accord sur la hausse des prix du lait au deuxième trimestre. Une annonce qui intervient après une réunion au ministère de l’Agriculture, entre le ministre et la profession.
La filière était jusqu’à maintenant dans l’impasse pour fixer les prix du lait à appliquer dès le 1er avril.

"Il y a eu un accord de l’interprofession" (entreprises, coopératives et syndicat), a déclaré Bruno Le Maire.“C’est une bonne nouvelle. C’est un signe positif”, s’est félicité le ministre, qui avait demandé un peu plus tôt à la filière de parvenir à un accord dans la journée.

Selon Henri Brichart, président de la Fédération nationale des producteurs laitiers, branche du syndicat FNSEA, “la hausse devrait atteindre une moyenne de 9 à 10% pour le deuxième trimestre par rapport au deuxième trimestre 2009”.
Un compromis qui devrait calmer les producteurs qui sont en ébullition depuis plusieurs mois. Des manifestations ont d’ailleurs eu lieu en France dans plusieurs régions aujourd’hui.

Industriels et producteurs de lait avaient signé le 3 juin un accord prévoyant une hausse de 5,5 à 5,8% du prix de base du lait au deuxième trimestre 2010 par rapport à la même période un an plus tôt. Mais les industriels ont dénoncé dernièrement ce compromis et réclamé un alignement des prix du lait en France sur ceux pratiqués en Allemagne, estimés 15% moins chers.







Que de rebondissement!
Décidément, l'Agriculture ne se décrète pas.
L'URSS en fit largement les frais en son temps.
Quand, un peu de bon sens reviendra-t-il dans l'agriculture?
Elle en a bien besoin!
WS

 

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 06:48
Le pitaya
  Le pitaya ou pitahaya (de l’amérindien taïno, « fruit écailleux »), plus connu sous le nom de « fruit du dragon » (ou dragon fruit, strawberry pear en anglais), est le fruit de différentes espèces de cactus épiphytes, et plus particulièrement de celles de l’espèce Hylocereus undatus (anciennement H. triangularis).
Originaire du Mexique et s'etend jusqu'à l'Amérique centrale, ces cactus aux allures de vignes vierges ont été importés au Viêt Nam par les colons français au début du XIXe siècle. Initialement, les fruits étaient réservés à la famille royale puis à la bourgeoisie locale. Ils devinrent ensuite le premier produit d’exportation du Viêt Nam et rivalisèrent en prix avec le fruit vedette d’Asie, le durian. Ils sont aujourd’hui cultivés et appréciés dans toute l’Asie du Sud Est (Malaisie, Taïwan) et la côte Sud Est de la Chine. La version bonsaï du pitaya est courante sur les marchés à fleur de Taïwan.





De la bonne gelée de Pitahaya

The dragon fruit cactus came from the tropical jungles
of Central America. This plant can do well in partial shade.
The photos below show commercial growing in full sun.
The climate in Vietnam and Thailand is ideal for this plant.







Arrow http://wchow.home.znet.com/DG2005/dg2005.htm

Et nous c'est quand qu'on s'y met à la culture de ce Dragon maintenant Asiatique...
Parce que la culture de la tomate ça devient un peu monotone ..
Parfois...
Après tout la tomate ne vient-elle pas des Amériques....



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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 06:47
Le fruit du dragon

Le fruit du dragon, connu aussi sous le nom espagnol de pitahaya ...

La chair est légèrement sucrée.

C'est le fruit d'un cactus semi rampant ..

 

 

 

http://www.ateliergribouill.canalblog.com/

Doc & photos L'Atelier de Gribouille

 


Connaissez- vous des fruits exotiques originaux


 

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Affaire à suivre


 

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Le pitaya ou pitahaya (de l’amérindien taïno, « fruit écailleux »), plus connu sous le nom de « fruit du dragon » (ou dragon fruit, strawberry pear en anglais), est le fruit de différentes espèces de cactus épiphytes, et plus particulièrement de celles de l’espèce Hylocereus undatus (anciennement H. triangularis).

Originaire du Mexique et s'etend jusqu'à l'Amérique centrale, ces cactus aux allures de vignes vierges ont été importés au Viêt Nam par les colons français au début du XIXe siècle. Initialement, les fruits étaient réservés à la famille royale puis à la bourgeoisie locale. Ils devinrent ensuite le premier produit d’exportation du Viêt Nam et rivalisèrent en prix avec le fruit vedette d’Asie, le durian. Ils sont aujourd’hui cultivés et appréciés dans toute l’Asie du Sud Est (Malaisie, Taïwan) et la côte Sud Est de la Chine. La version bonsaï du pitaya est courante sur les marchés à fleur de Taïwan.


 

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De la bonne gelée de Pitahaya

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The dragon fruit cactus came from the tropical jungles
of Central America. This plant can do well in partial shade.
The photos below show commercial growing in full sun.
The climate in Vietnam and Thailand is ideal for this plant.
 






Arrow http://wchow.home.znet.com/DG2005/dg2005.htm

 

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Et nous c'est quand qu'on s'y met à la culture de ce Dragon maintenant Asiatique...
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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 06:21
DomeShell

Un DomeShell est un module fabriqué en structure "sandwich" à la manière des coques de bateaux. Il peut resister à toutes les conditions climatiques y compris les ouragans et même les tremblements de terre. Ceci dit, associé avec d'autres modules, il fait une jolie petite maison à installer facilement au fond du jardin. DomeShells (26/02) 
crayon
Un concept Australien.
Ces réalisations d'avant-garde, ne sont pas encore pour nous....
Désolé

crayon

 

D'autres photos..


Un jardin blanc   Tendance 

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 02:06


En plâtre

Profondeur 5cm Haut 9.5cm

Larg 6.5cm

Poids 59 gr

Couleur Gris - Bleu - Doré - Blanc

Figurine assez ancienne

Provenance : Brocante

Origine inconnue




un de mes préférés



Photos libres de droit
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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 01:47



Les tomates de Marmandin

Plants de tomates Anciennes à vendre

Plus de 80 variétés


Variétés Russes

Tomates Beefsteack

Tomates Cerises

Tomates très précoces

Tomates à feuilles de pomme de terre

Tomates noires

Tomates Vertes et Tomates Jaunes


S'adresser au Forum ou au Blog de Jouy sous Thelle

 

Tomates 2008  

 

Semis des tomates

 

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 01:38
Votre pelouse vous prend trop de temps 
 
Votre pelouse vous prend trop de temps

Selon une enquête, la majorité des Belges consacrent plus de temps qu’il n’est nécessaire à la tonte du gazon. Si chaque amateur de jardin rêve évidemment d’avoir une belle pelouse bien verte, la tonte ne doit pas nécessairement se transformer en une corvée fastidieuse.
Cette étude a été menée par le fabricant Toro auprès de 500 propriétaires de jardins.
De 52 à 100 minutes !
Les propriétaires d’un jardin relativement petit (100 à 500 m2) consacrent en moyenne 52 minutes à tondre leur gazon (y compris la vidange éventuelle du bac de ramassage). Ceux qui possèdent une plus grande pelouse (500 à 1.000 m²) mettent facilement une heure pour la tondre. Quant aux amateurs de jardins qui disposent d’une superficie entre 1.000 et 5.000 m², il leur faut en moyenne 100 minutes pour la tondre.
Connaisez-vous le mulching ?
Il est possible de réduire le temps de tonte d’un tiers en utilisant le recyclage de l’herbe ou le mulching. Les Belges sont cependant trop peu nombreux à appliquer cette technique. Et pourtant, la tonte mulching est de plus en plus encouragée par des communes, des provinces et des intercommunales. C’est ainsi que la province du Brabant flamand accorde des subsides pour l’acquisition d’une tondeuse à mulcher ou d’une tondeuse combinée. Bon nombre de services d’espaces verts dans des communes flamandes passent au recyclage de l’herbe.
Le fabricant Toro explique que cette technique est utilisée dans sa tondeuse Recycler. Le gazon coupé est dirigé plusieurs fois dans le passage de la lame au moyen de déflecteurs judicieusement positionnés dans son carter. Les brins d’herbe sont donc finement coupés. Après ces coupes multiples, les brins minuscules sont projetés et éparpillés dans le gazon, là où ils se décomposeront naturellement. Ces brins constituent une sorte d’engrais et le fait qu’ils soient si minuscules favorise une décomposition et un compostage rapides. Cet apport devrait se traduira par une pelouse à l’aspect plus sain et vigoureux..
Aux USA, le message est passé depuis bien longtemps et l’utilisation du bac de ramassage y est à peine connue. Etant donné les nombreux avantages du mulching (tant pour le gain de temps que pour des raisons financières et environnementales), les choses se présentent de telle sorte qu’à l’avenir l’Europe se convertira de plus en plus au recyclage de l’herbe.
La tonte mulching ou le recyclage de l’herbe constitue donc une bonne solution pour gagner du temps. En effet, vous n’êtes plus contraint de vous arrêter constamment pour vider le bac de ramassage pas plus que vous ne devez évacuer l’herbe coupée vers le parc à conteneurs ou composter vous-même. Par ailleurs, débarrassé du bac de ramassage rempli d’herbe, vous pouvez tondre plus rapidement tandis que votre tondeuse est plus légère et plus maniable.
Un oeil sur la météo
La configuration idéale, c’est cependant l’utilisation de la tondeuse-mulcheuse combinée qui s’adapte avec souplesse aux conditions atmosphériques. Pour la tonte mulching, il est en effet important que l’herbe soit sèche. On sait que l’herbe mouillée s’agglomère et se disperse mal entre les brins d’herbe. Pendant la période relativement sèche qui va de mai à septembre, vous pouvez broyer finement l’herbe et la laisser sur place. Par temps humide, il est recommandé de recueillir l’herbe. Dans ce cas, il suffit d’accrocher le bac de ramassage.

corde
Robert Derumes 31 août 2008
corde
On peut  constater, d'après les chiffres avancés plus haut, qu'une petite pelouse est plus longue, proportionnellement,  à entretenir qu'une plus grande pelouse.
Certainement à cause du type de matériel employé.
La taille de la tondeuse croit, en général, avec la surface de la pelouse.
J'ai dit en général Very Happy
Sinon... c'est pas la joie

corde

 

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 01:34
Terrain synthétique : Inovert déroule le « tapis vert »


AMÉNAGEMENT  |
Au CRT de Lesquin, Inovert, spécialiste de l'aménagement paysager pour les collectivités, a parié sur le gazon synthétique dès la fin des années 90. La pelouse du terrain d'entraînement du Stadium Nord, c'est eux. Visite.
La banque a dit banco. C'était en juillet 2000, la France planait encore dans l'euphorie du championnat d'Europe, Didier Deschamps rangeait son numéro 7 et Pierre-Henri Pennequin troquait son maillot de responsable chez Inovert pour un tricot tout neuf floqué du mot « patron ». Le quadra rassemble ses économies, signe un gros prêt chez le banquier et rachète, avec Yves Desoteux, la société qui l'emploie pour près de 5 millions de francs. «  Si je ne connaissais pas si bien l'entreprise, je ne sais pas si j'aurais franchi le pas.  » Aujourd'hui, Inovert dégage 8 millions d'euros hors taxes de chiffre d'affaires.
Son créneau : l'aménagement du paysage urbain, secteur très concurrentiel où les indépendants (50 salariés) comme Inovert font face à de très grands groupes. Ses spécialités : les espaces verts publics, l'aménagement de zones de jeux pour enfants ou de plateaux multisports, la requalification de friches et la pause de terrains de sport en gazon synthétique, poste qui représente près d'un tiers des activités d'Inovert. Ses clients pour ce marché : les collectivités, comme Lille (tous les terrains synthétiques), Villeneuve-d'Ascq (trois réalisations) ou LMCU (la pelouse artificielle du stade annexe du Stadium Nord, c'est Inovert).
L'odeur de l'herbe coupée
L'herbe synthétique a ses ancêtres, comme le « stabilisé », gazon modique abandonné au profit d'un revêtement nettement plus confortable. Aujourd'hui, les terrains rouges qui écorchaient ou brûlaient les téméraires qui osaient le tacle glissé ont laissé place à une pelouse, qui, de loin, passerait pour un gazon wimbledonnien bichonné par un jardinier anobli. De plus près, la comparaison s'arrête là. Du sable, pour lester le revêtement, des granulats de caoutchouc pour leur souplesse et des fibres couleur herbe, de 3 à 7 cm, pour le rendu, composent ce tapis vert, fabriqué à l'usine Eurofields d'Isebergues (62). Il se pose par rouleaux de 4X60 m scellés entre eux mais reste indépendant du sol, drainé, traité à la chaux et recouvert d'une couche de cailloux. Un terrain synthétique, c'est du lourd : 5 000 tonnes de matériaux par terrain de foot ! C'est aussi un prix, à l'avenant : près de 600 000 euros selon la surface. Soit «  3 à 4 fois plus cher qu'une pelouse naturelle mais 5 à 10 fois moins coûteux en entretien ». Le vrai point fort du synthétique est encore ailleurs : il ne se dégrade pas, quel que soit le nombre de joueurs sur le terrain, la fréquence des entraînements, la météo. En deux mots, il est exploitable en toute saison, il est «  rentable ».
Pour le patron d'Inovert, ces surfaces de caoutchouc et de plastique sont complémentaires du naturel, qu'il propose d'ailleurs dans son catalogue. « Un terrain en synthétique pour les entraînements, un terrain en herbe pour les matchs. C'est la bonne formule, celle que je conseille aux collectivités. » Pour ce diplomé de l'Institut de Genech, cursus aménagement paysager («  à l'époque, mon père n'était pas très emballé ! »), le gazon naturel « doit rester la surface prédominante du football. » La FIFA a bien homologué, au plus haut niveau le synthétique mais « les joueurs pros sont réticents. Antoine Siebierski (ex du LOSC et du RC Lens, aujourd'hui en championnat anglais) a dit un jour que l'odeur de l'herbe coupée lui manquait ». •





lundi 25.08.2008, 07:50 - SAMI CHEBAH


A quand le foot en salle.
Les règles prévoient que les matchs doivent se dérouler avec comme seule toiture le ciel.
Le climat local devant pouvoir ponctuer le déroulement naturel du match.
Mais qu'en est-il de la substance même de la pelouse.
Je n'en sais fichtrement rien...
Qu'en pensez-vous?

si vous connaissez   

 


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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 01:10

Collectif d’usagers

de la Salle des Fêtes de Jouy sous Thelle

   
Dur Dur

  « Nous sommes interpellé(e)s par le coût du projet de réhabilitation de notre Salle des Fêtes.
En effet, compte tenu de l’utilisation annoncée de cette salle et des restrictions d’utilisation imposées par la DDASS*(rapport d’enquête consultable en Mairie), nous avons fait part de nos interrogations, au Conseil Général (partie prenante de ce projet par l’apport de subventions), Une copie de ce courrier à été adressée à la mairie.
Devant le refus de notre Maire de consulter la population de notre village et cela malgré la demande de 4 conseillers municipaux.

Habitant(e)s de Jouy sous Thelle, nous demandons:
-  L’abandon du projet actuel
-  Une étude des besoins en équipements en adéquation avec capacités financières et l’endettement: Salle des Fêtes opérationnelle, création d’un périscolaire, salles pour les associations, pour le sport, aire(s) de jeux pour les enfants, etc.…    

 NOM     Prénom    Adresse    Signature


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      Fleche http://www.jouy-sous-thelle.org/spip.php?article5 

 

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