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le Jardin des Missions Etrangères |
le Jardin des Missions Etrangères
Rue de Babylone, s'étend le jardin privé des Missions Etrangères, d'une superficie d'1 ha. C'est d'abord un bâtiment superbe du 17è s., séminaire destiné à former les prêtres et laïcs pour les Missions de l'Asie. Jardin "à la française" exécuté par un disciple de Le Nôtre. Ce plan n'a pas été modifié. Au 19ème s. ,plusieurs missionnaires botanistes en Asie, correspondants officiels du Museum d'Histoire Naturelle de Paris, découvrirent et expédièrent en Europe de nouvelles variétés de plantes, comme les rosiers Soulieana, Moyesii ou Roxburghii... Quelques curiosités évoquent la vie des prêtres missionnaires en Asie : un oratoire, des statues, une stèle coréenne offerte en 2003 par la cathédrale de Séoul, et une impressionnante cloche chinoise datée de 1858. Geneviève |
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le Jardin des Missions Etrangères |
le Jardin des Missions Etrangères Rue de Babylone, s'étend le jardin privé des Missions Etrangères, d'une superficie d'1 ha. C'est d'abord un bâtiment superbe du 17è s., séminaire destiné à former les prêtres et laïcs pour les Missions de l'Asie. Jardin "à la française" exécuté par un disciple de Le Nôtre. Ce plan n'a pas été modifié. Au 19ème s. ,plusieurs missionnaires botanistes en Asie, correspondants officiels du Museum d'Histoire Naturelle de Paris, découvrirent et expédièrent en Europe de nouvelles variétés de plantes, comme les rosiers Soulieana, Moyesii ou Roxburghii... Quelques curiosités évoquent la vie des prêtres missionnaires en Asie : un oratoire, des statues, une stèle coréenne offerte en 2003 par la cathédrale de Séoul, et une impressionnante cloche chinoise datée de 1858. Geneviève |
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De nouvelles fleurs vivaces |
De nouvelles fleurs vivaces Non! Malheureusement, les pétunias ne sont toujours pas des vivaces ; mais de très belles et très précieuses fleurs annuelles. Les vivaces ce serait plutôt ces petites bouteilles roses. On devrait normalement les retrouver après l'hiver prochain, au printemps, en principe... Si tout se passe bien. Le climat est tellement déjanté que l'on ne peut plus jurer de rien. Cette année par exemple, l'été vient de succéder directement à l'hiver. Exit Le printemps! On trouve très facilement en brocante, des collectionneurs désabusés qui se démettent de ces petites bouteilles de collection, pour 1/2 euro le lot, le plus souvent. A ne surtout pas acheter en grande surface: Le prix en est vraiment astronomique pour de vulgaires fabrications Chinoises. Car ce type d'objet est très tendance, comme on dit aujourd'hui. Une plate-bande établie sur une butte très sèche en été. Le sol est recouvert, depuis plusieurs années, avec le broyage des taillures de haies ou des résidus d'élagage.Les coquilles Saint Jacques signalent simplement une nouvelle plantation . Elles participent aussi au paillage de la plate-bande. La tour composée de 3 potées plastiques a déjà été décrite ici Tour Fleurie |
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Service minimum pour la Fête des roses |
Service minimum pour la Fête des roses 14/06/2013 Conséquence d'un bilan financier désastreux en 2012, la fête autour de la rose aura lieu cette année dans une configuration restreinte.
Si la 84 e Fête des roses a eu lieu dans le plus beau village de France l'an dernier, la 85 e édition n'est prévue que pour... 2014. Cette année en effet, seule une Journée de la rose sera proposée dimanche aux promeneurs, avec un programme réduit. En cause, une météo désastreuse l'année dernière, qui a mis à mal les finances de l'association. « Nous n'avons accueilli que 1 500 visiteurs, contre les 10 000 habituels », reconnaît son président Germain Vandeputte, pourtant personnellement convaincu qu'une vraie Fête des roses aurait pu être maintenue cette année avec moins de moyens. Même avec moins d'artistes en scène et d'animations de rue, le village cher à l'artiste Henri Le Sidaner rendra son hommage annuel à la reine des fleurs. Avec le printemps tardif, la rose sera en pleine floraison Une quarantaine de stands seront installés, parmi lesquels une dizaine de rosiéristes et pépiniéristes ; le splendide alambic de distillation d'eau de rose habitué de la manifestation ; un souffleur de verre ; un fabricant de caramel ; des stands de poterie, de bijoux, de peintures ou de cosmétiques au lait d'ânesse. L'association La Fête des roses tiendra deux points de restauration. Le stand municipal proposera des produits dérivés à base de rose, du thé parfumé au confit en passant par les parfums d'intérieur... Toute la journée, professeurs et élèves de l'École de musique de l'Oise normande se succéderont sur la scène. Une dizaine de voitures anciennes - des Morgan venues de région parisienne - défileront dans le village. Il ne s'agira pas d'une vraie Fête des roses. Mais ça y ressemblera beaucoup... De notre correspondante BRIGITTE BRUANDET |
Images d'archive Gerberoy Photo |
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Village de Gerberoy |
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L'asperge de Noailles, star de la saison |
L'asperge de Noailles, star de la saison 15/06/2013 À Noailles, la récolte des asperges s'achève. Ce légume de saison s'est arraché sur le marché de Beauvais. Derniers jours pour en profiter. Des champs autour et au milieu une parcelle où des bâches en plastique protègent de petites buttes. Dessous pousse un légume de saison qui depuis deux mois s'arrache sur le marché de Beauvais : l'asperge. Nous sommes à Ponchon dans la production de Benoît Biberon, le propriétaire de la ferme du Relais, installée dans la commune voisine de Noailles. « La cueillette a commencé en avril et s'achèvera la semaine prochaine. » Il faut donc se dépêcher pour la goûter, surtout que la saison n'a pas été des plus prospères. « En raison du climat. L'asperge demande de la chaleur et un peu d'humidité. Cette année, la pluie constante a retardé la récolte de trois semaines . » Une cueillette manuelle Cela fait une dizaine d'années que cet enfant du pays s'est spécialisé dans cette culture. « Mes parents ont commencé dans les années 1980 avec une première parcelle. » La seule et unique terre de la propriété qui donne aujourd'hui de belles asperges vertes. « Nous cultivons majoritairement des blanches. Les deux variétés ne se produisent pas de la même manière. » À l'origine du légume, la griffe, une racine qui se plante dans une terre vierge avec beaucoup de patience. « Il faut attendre deux ou trois ans avant d'avoir une production normale », explique Benoît Biberon, qui a investi une nouvelle parcelle cette année. « C'est un légume assez compliqué à cultiver. La racine donne une végétation dense et nécessite ainsi de planter sur des parcelles importantes. » D'où son prix de vente assez élevé. « Longtemps, l'asperge était considérée comme un produit de luxe. » La cueillette se fait encore manuellement. Six saisonniers sont embauchés pour effectuer ce travail. La seule mécanisation dans cette plantation : le traitement et le conditionnement. L'an dernier, Benoît Biberon a investi dans une nouvelle machine d'origine allemande - le pays de l'asperge où l'on en consomme trois fois plus qu'en France - qui trie, photographie et enregistre le calibrage de la tige. « Avant, on le faisait à la main. On gagne du temps et de l'énergie. » Très peu de producteurs sont présents dans le Nord de la France. L'activité se concentre essentiellement dans le Sud-Ouest, les Landes et la vallée de la Loire. Membre d'un regroupement de producteurs, Benoît Biberon revendique le « manger local ». « Parce que le produit est le plus frais et le moins dégradé possible. En réduisant les intermédiaires, on diminue aussi les coûts de transports et autres. » Le propriétaire de la ferme du Relais ne travaille qu'avec des producteurs locaux, comme lui. On trouve ses asperges chez des primeurs du Val d'Oise et chez des « amis de 25 ans » cultivateurs et revendeurs spécialisés dans d'autres cultures maraîchères. À Noailles, cela fait bientôt 30 ans que sa famille a ouvert une boutique à la ferme où l'on trouve la moutarde Champ's, du miel d'Auneuil, des légumes de Ferrières-en-Bray ou encore la tomme au foin de la GAEC de La Chapelle-Saint-Jean. Il y a longtemps ici qu'on a compris ce qui était bon. MÉLANIE CARNOT Notre récolte se poursuit. Elle sera assez maigre cette année encore. Récolte 2013 |
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La mousse et les lichens |
Dans les prés, les pommiers à cidre se sont délestés de leurs rameaux morts, comme l'ont fait les pêchers et les poiriers dans le jardin. Ce n'est pas grave, c'est même on ne peut plus naturel : les arbres fruitiers que l'on appelle aussi arbres de plein vent, poussant sur une haute tige, se taillent ainsi tout seuls à la faveur des bourrasques automnales et hivernales. Il vaut mieux même ne jamais les tailler si l'on ne sait pas s'y prendre. En s'allongeant, les branches se courbent naturellement vers le sol. A l'endroit où elles fléchissent, une nouvelle branche naît, qui prive peu à peu de sève la partie ancienne, qui meurt, se dessèche et tombe.En revanche, les pluies incessantes ont fait verdir les troncs d'arbres, les terrasses, les murets et les toits de tuiles. Ils sont envahis par la mousse et par le lichen. Ni tout à fait un végétal ni tout à fait un champignon, cette "plante", aux gris, bleus et jaunes si subtilement dégradés, ne peut pas s'observer au coeur des grandes villes. Elle s'accroche à de nombreux supports à la campagne, et notamment aux troncs d'arbres dont l'écorce est crevassée. Faut-il débarrasser ceux-ci de leur mousse et de leur lichen ? Non ! Les oiseaux acrobates y trouvent leur pitance et la nature son compte : le lichen n'est pas un parasite.INDÉSIRABLE SUR LES TOITS En revanche, la mousse et les lichens qui envahissent les toits devront être retirés. Ailleurs, partout où l'on peut gratter ou simplement pulvériser un produit antimousse sans avoir à jouer les acrobates, il faut le faire. Peu à peu, mousses et lichens fragilisent les tuiles, les rendent poreuses par l'effet des gels et dégels successifs qui les font se déliter peu à peu. Sur les terrasses, la mousse rend certains dallages particulièrement glissants. Quand les algues s'y mettent les jours de pluie, allées de briques et de pierres lisses deviennent risquées à emprunter. Surtout pas de nettoyeur à pression : l'eau projetée avec force détruit la mousse et les lichens, mais aggrave le mal en rendant de plus en plus poreux le support sur lequel la mousse revient de plus en plus vite. Surtout pas de sulfate de fer ! Il fait merveille sur la pelouse, mais fait rouiller les pierres d'une façon quasi irrémédiable. Il existe de nos jours des produits antimousses à l'efficacité remarquable.
Cette année, plus que d'habitude... Beaucoup de nettoyage au printemps Alain Lompech Le Monde 18.01.08. On ne commercialise pratiquement plus de sulfate de fer. Il est remplacé par d'autres substances. Sont-elles efficace? Sont-elles respectueuses de l'environnement? quand il y a vraiment trop de mousse ..refaire la pelouse Plus facile à écrire qu'à faire. Annie |
Lichens |
Mousses sur le toit |
Toit vert Mousse colorée |
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16 juin 2013
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