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Tomates vertes en cuisine |
Tomates vertes en cuisine Faute d'un appui de fenêtre décent, je cultive mes tomates en plein air. Certains dans des pots de la largeur et la profondeur d'un seau, le reste dans le potager, qui s'est tenue avec de la ficelle sur les poteaux de noisettiers épais. Tomates vous cultivez vous-même sont des choses magnifiques, riche, douce-forte et de toutes les couleurs du coucher du soleil orange (Sungold, Auriga) à minuit noirs (Black Krim, Prince Noir). Ils viennent en jaune et or, en forme de poire et de cerise , aussi gros que votre doigt ou gros comme un pamplemousse. Certains balancent comme des grappes de raisin (Cherrybell), d'autres nous intriguent en restant vert émeraude, même quand ils sont mûrs drippingly (Green Zebra). C'est ceux qui sont vraiment noueux que j'aime, ceux avec des plis énormes et les plis, des sillons et des fissures. Une tomate de caractère. Mais ensuite il y a ceux qui n'ont tout simplement pas mûri. Celles des tomates dont les perspectives étaient bonnes, mais qui ont échoué en raison du brusque virage de notre été exceptionnellement long dans un automne, généreux mais frisquet. Observez les bien et vous verrez les fruits qui sont parfaits dans tous les sens, sauf que leur douceur n'a pas encore été développé. Fondamentalement, ils sont comestibles mais ont besoin du coup de main du cuisinier. Un peu de chaleur, un peu de sucre, un minimum d'épices peut-être. Nous pouvons sauver ces derniers fruits d'un pire sort que le compost. Le mieux, je pense, est de faire un chutney - merveilleux avec du jambon froid agité dans un bol de riz cuit à la vapeur - avec un mélange de tomates vertes et mûres. Les fruits non mûrs ont besoin de cuisson plus long pour développer leurs sucres, mais ils semblent faire mieux mélangés avec un peu de fruits sucrés . Vous obtenez un enchevêtrement ludique de textures et de couleurs et de temps en temps un peu de netteté. Si je ne peux pas faire mûrir les traînards en arrachant la plante entière et en la portant dans un endroit chaud et douillet pour les faire mûrir, alors je vais les récolter et les faire cuire dans une mince croûte d'œuf battu et de polenta (farine, œuf battu, la chapelure fine, l'huile chaude). Le grain sec et jaune forme un revêtement croustillant tandis que les tomates restent tendres . Elles n'auront pas la couleur d'une délicieuse tomate rose rouge, mais auront une note enjouée et un peu croquante. Un changement agréable par un fruit délibérément pas mûr. Avec une bonne cuillerée de mayonnaise et d'ail écrasé,. |
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Talmontiers Le partage d'un savoir biologique |
Talmontiers Le partage d'un savoir biologique Jeudi 01 Septembre 2011 Karolina et Vilda, deux Lituaniennes sont accueillies pour neuf jours chez Olivier Tranchard dans le cadre du WWOOF. Le wwoofing est une pratique mondiale en pleine croissance dans les fermes biologiques. En échange d'aide, les visiteurs, appelés wwoofeurs, découvrent le quotidien et la culture du pays. C'est dans son jardin sauvage d'un hectare au milieu de plants d'origans et de sauges des prés qu'Olivier Tranchard, jardinier paysagiste, accueille régulièrement des jeunes gens venus du monde entier. Américains, Indiens, Péruviens ou encore Néo-Zélandais, de nombreuses nationalités se sont rendues à Talmontiers, à 30 kilomètres à l'Ouest de Beauvais, depuis un peu plus d'un an. Et tous partagent une même pratique : le wwoofing. Ce mouvement d'origine britannique offre la possibilité aux visiteurs de découvrir les différentes techniques de l'agriculture biologique aux quatre coins du monde. Ils partagent alors le quotidien des hôtes en participant à la vie de l'exploitation en échange d'un toit et d'un repas. «En juin dernier, je me suis inscrit sur le réseau français et dès juillet, j'avais des demandes pour rester de trois jours à un mois », se remémore Olivier Tranchard. En tout, ils sont plus d'une vingtaine à être venus l'aider dans son travail principalement entre juin et octobre sur ces deux années. Partage d'un savoir-faire Actuellement, ce sont Vilda, 20 ans, et Karolina, 19 ans, deux Lituaniennes qui mettent la main à l'ouvrage pendant neuf jours après un séjour dans deux fermes de Bourgogne. Elles ramassent et produisent des graines de plantes sauvages locales, les mettent en pot et enretiennent le jardin, tout ça de façon biologique, une base fondamentale du WWOOF. «Les missions ne sont pas les mêmes en fonction des wwoofeurs, explique Olivier Tranchard. Certains sont dans le métier ou font des études en lien avec ce domaine, alors que d'autres sont dans la pure découverte de l'entretien d'un tel jardin. » De plus, sa connaissance des plantes vient enrichir les acquis de certains wwoofeurs. C'est ainsi que le jardinier paysagiste isarien a découvert que les "mauvaises herbes" ne sont pas perçues de la même manière selon l'origine géographique de ses visiteurs. «C'est intéressant d'expliquer la flore locale et de transmettre un savoir. Les wwoofeurs m'apportent de l'aide et de la vie autour de moi. Et grâce à eux, je me suis remis à l'anglais ! », ajoute Olivier Tranchard. En échange de ce service rendu au jardin et pour les remercier, il fait découvrir aux wwoofeurs la région aux cours de ses déplacements l'amenant parfois jusqu'à Villarceaux ou La Roche-Guyon dans le Val d'Oise. Sur leurs temps libres, les deux Lituaniennes en ont également profité pour aller un week-end à Paris par le train. Le seul petit bémol que pointe Olivier Tranchard, c'est la difficulté à s'organiser pour recevoir les hôtes. « Parfois je suis confronté à des désistements ou des demandes de dernière minute ». C'est aussi ça le wwoofing : l'aventure de la vie en communauté ! JUSTINE BRIOT |
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Talmontiers Le partage d'un savoir biologique
Jeudi 01 Septembre 2011
Karolina et Vilda, deux Lituaniennes sont accueillies pour neuf jours chez Olivier Tranchard dans le cadre du WWOOF.
Le wwoofing est une pratique mondiale en pleine croissance dans les fermes biologiques. En échange d'aide, les visiteurs, appelés wwoofeurs, découvrent le quotidien et la culture du pays.
C'est dans son jardin sauvage d'un hectare au milieu de plants d'origans et de sauges des prés qu'Olivier Tranchard, jardinier paysagiste, accueille régulièrement des jeunes gens venus du monde entier.
Américains, Indiens, Péruviens ou encore Néo-Zélandais, de nombreuses nationalités se sont rendues à Talmontiers, à 30 kilomètres à l'Ouest de Beauvais, depuis un peu plus d'un an. Et tous partagent une même pratique : le wwoofing.
Ce mouvement d'origine britannique offre la possibilité aux visiteurs de découvrir les différentes techniques de l'agriculture biologique aux quatre coins du monde. Ils partagent alors le quotidien des hôtes en participant à la vie de l'exploitation en échange d'un toit et d'un repas.
«En juin dernier, je me suis inscrit sur le réseau français et dès juillet, j'avais des demandes pour rester de trois jours à un mois », se remémore Olivier Tranchard. En tout, ils sont plus d'une vingtaine à être venus l'aider dans son travail principalement entre juin et octobre sur ces deux années.
Partage d'un savoir-faire
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JUSTINE BRIOT
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Champniers couleur safran
20 août 2011
Au naturel en filament et en bulbe, ou travaillé en confiture et en gelée, le safran est le roi de la fête le 20 août à Champniers. Pour sa septième édition, la Fête du safran garde ses animations classiques et ajoute quelques nouveautés.
Randonnée (2 €) dès 9h suivie d'un déjeuner (12 €, sur inscription) 100 % safran. Conférence d'un safranier à 14h30. Les visiteurs pourront ensuite profiter d'un salon de thé au safran et d'une animation musicale, et finir par le tour des étals des safraniers. Tél.: 05.45.65.63.82.
Pour en savoir plus.........