Présentoir à épices |
Présentoir à épices Si vous avez à la fois la nostalgie de la Boîte du Petit Chimiste et le goût des épices, ce présentoir fait d'éprouvettes en verre garnies de tous les épices possibles de la graine d'anis au thym est fait pour vous. Faudrait voir à pas se tromper en remplissant les tubes à essai.. Epices ou produits chimiques http://www.lemondeentube.com/fr/accueil.php?action=infosAjoutInteret |
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l'onychomycose |
Vous jardinez ? Protégez vous… des champignons !
Contrairement aux apparences le jardinage, l'un des loisirs préférés des Français, n'est pas sans risques. Il provoque souvent des microtraumatismes des mains et des pieds, donc des doigts ou des orteils. Microbes et autres bactéries risquent de s'y glisser, d'où la nécessité d'être bien à jour dans sa vaccination antitétanique ! Mais il y a un autre risque auquel on ne pense pas naturellement. Celui d'une contamination des ongles par des champignons microscopiques. |
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La confrérie, défenseur amoureux du chou-fleur | ||
Saint-Omer : la confrérie, défenseur amoureux du chou-fleur
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Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu |
Le retour en grâce du bon vieux pot-au-feu Dans un contexte de pouvoir d'achat raplapla, l'interprofession bovine propose de cuisiner des viandes moins chères que le steak. À mitonner au coeur de l'hiver. « On essaie de redonner aux Français le goût de cuisiner des bourguignons et du pot-au-feu, explique Louis Orenga, le directeur du CIV, le Centre d'information des viandes. Par ces temps difficiles pour le pouvoir d'achat, il peut être intéressant de mitonner, le week-end, des plats avec les morceaux d'avant de la vache moins chers que l'entrecôte et les steaks. » C'est bon pour le porte-monnaie des ménages et pour celui des industriels. Ils peuvent mieux valoriser des parties de la vache plutôt boudées aujourd'hui. L'interprofession bovine grimpe jusqu'aux stations de ski dans le cadre de sa « tournée viande des neiges » pour faire goûter aux enfants des bouillons de pot-au-feu. « Souvent, c'est la première fois, qu'ils en mangent dans leur vie, souligne Louis Orenga. On leur explique aussi que l'été les vaches participent à l'entretien des alpages. » 16 kg de boeuf par an Dans le cadre d'ateliers culinaires et sur la chaîne Cuisine-TV des chefs cuistots remettent au goût du jour des recettes un peu oubliées. Malgré ces efforts de communication, la consommation de viande rouge s'érode de 1 % par an. La production française est de 800 000 tonnes issue pour moitié du troupeau laitier et pour l'autre moitié des races allaitantes. Le Français consomme 16 kg de viande rouge dans l'année bien loin derrière l'Argentin avec 60 kg. Le boeuf n'a pas toujours bonne presse à cause de sa matière grasse. Ça fait bondir Gilles Gandemer, spécialiste des lipides à l'Inra, l'Institut national de la recherche agronomique. « En mangeant des croissants où des chocolatines vous avalez 15 % de matières grasses alors qu'une entrecôte ne dépasse pas 5 à 7 %, remarque-t-il. La consommation de viande apporte aussi un effet de satiété qui évite de grignoter entre les repas et donc de prendre du poids. » En fait, tout est une question d'équilibre. « Il faut surtout varier son alimentation, plaide le scientifique. Avec son mélange de viandes et de légumes, le pot-au-feu répond à cet impératif. « Si les gens n'ont pas le temps de le préparer qu'ils en achètent chez leur boucher-traiteur », disent en choeur Michel Renaudier et Gérard Luquet, deux bouchers retraités. Au Salon, ils font la promotion de leur métier devant le public. « On a vraiment le potentiel de clients, ajoutent-ils, mais on trouve de moins en moins de bouchers. À Paris, la profession est prête à en recruter 600 demain matin. » Jean-Paul LOUÉDOC. jeudi 28 février 2008 Photo |
Le pot au feu, ce plat que l'on apprécie surtout quand les frimas s'abattent sur le jardin. |
La petite poule et le Premier ministre |
29/02/2008 15:43:58 Il était une fois, une petite poule rousse qui se retrouva dans les bras d'un gentil Premier ministre originaire de la campagne sarthoise qui faisait son petit tour au Salon de l'agriculture. Comme elle lui était offerte par des gars du pays natal, ledit Premier ministre ne put refuser le cadeau qu'il confia aussitôt à l'un de ses gardes du corps, l'un de ces poulets de Paris que l'on rencontre dans tous les déplacements ministériels. On dit que le dit Premier ministre se trouva un peu interloqué lorsque le madré patron des Poulets de Loué lui expliqua que la petite poule rousse s'appelait Carla et qu'il précisa, non sans malice « qu'il ne savait pas si elle chantait juste ». Maintenant, me voilà tout énervé. Cette petite Carla me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus exactement quoi au juste ! Ces derniers temps, je commence à avoir des trous de mémoire. Pourtant, j'ai eu l'impression que les gars de la Sarthe avaient une idée derrière la tête. Même qu'une assistante de direction des Poulets de Loué a gentiment insisté: « S'il s'en occupe bien, elle peut pondre un oeuf par jour ». C'est balaise quand même ! Je me demande bien ce qu'ils ont voulu dire, ces gars de la Sarthe ! Jacques ROUIL. vendredi 29 février 2008 Quand on devient meilleur que le patron, dans les sondages... On peut raisonnablement craindre pour sa survie politique. En France, sous la cinquième, les premiers ministres sont des fusibles... Le premier Sinistre...Comme disait Coluche.. Rendez-vous aprés les élections..Il y aura certainement de la volaille sur le grill.. Normal ! Me direz-vous, ce sera l'époque des barbecues..... |
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Gourmand, forcément gourmand |
Gourmand, forcément gourmand Le lundi, ce n’est plus raviolis. Grâce à LibéToulouse, c’en est fini du régime cantoche, sandwiches et surgelés à la maison. Chaque semaine, un fruit courant, un légume commun ou une viande, même d’en bas, subira les cuisines de Jean-Paul S. Aujourd’hui, c'est la carotte. La carotte, cette bien-aimable apiacée qui fait rougir les joues des bébés privés de ski et adoucit si bien la peau des femmes. Sachez quand même que l’idéal orange de ce légume peu calorique est tout à fait récent. 150 ans plus tôt, la chose était jaune. Un siècle avant encore, la carotte était blanche. Cette bizarrerie est confirmée par Alexandre Dumas dans son Dictionnaire de cuisine (Ed. 10-1 : «Il faut choisir les carottes jaunes ou d’un blanc pâle, se rompant aisément». L’apiacée, qui plus est, est bénéfique au corps. Crue et râpée depuis peu, ou bien à peine cuite à petits bouillons, pour conserver ses pro-vitamines A, la chose éloigne les pires diarrhées et apporte de salvateurs sels minéraux. On dit même que ses anti-oxydants militent contre le cancer. La belle affaire ! Passons aux casseroles : «Alors là, pas de problèmes, vous dira Jean-Claude Plazzotta (Le pois gourmand). Avec les fanes, qu’il ne faut surtout pas jeter, vous faites un bouillon. Vous faites revenir à côté vos carottes en rondelles et vous arrosez de temps en temps avec votre bouillon. Sel, poivre, une épice que vous aimez, et le tour est joué. Zéro pertes. Tout dans la bouche, rien dans la poubelle». «Dites à vos lecteurs de s’amuser un peu, ajoute Yannick Delpech (L’Amphitryon). Vous achetez des babas et, au lieu de les imbiber de rhum, vous les faites infuser dans le jus frais d’une carotte mixée avec du citron, du sucre et du cumin. Vous servez, accompagné d’un sorbet à la carotte. C’est super !». Avec la carotte, Stéphane Tournié (Les jardins de l’Opéra) préconise plutôt des envies simplicites mais précises : «L’autre jour, j’ai fait une purée de carottes à mes enfants, bien lisse, au mixeur, avec une pointe de canelle et un soupçon de cumin. On la pose sur un poisson frais, juste poêlé. Ils en ont redemandé, c’est bon signe !». Mo Bachir (La corde) est plus aérien encore : «Dites à nos amis de passer des carottes crues au mixeur, avec quelques herbes, un peu de sucre plus des jaunes d’œufs. Vous battez les blancs en neige et vous mélangez doucement. Vous beurrez un plat à soufflé, vous y mettez le tout, et hop, au four ! Ils verront : c’est drôlement bon ». Daniel Gonzalez (Ô Saveurs) conseille de son côté «une sorte de confiture de carottes. A la casserole, sur feu doux, avec du sucre et un parfum de poivres et de cumin. On mixe et on sert sous un filet mignon de porc ou une autre viande blanche et neutre. C’est fabuleux, et même pas cher». Et qu’est ce qu’on boit, avec ? «Si la carotte est crue, vous dira François Dedieu, œnologue à Paul Sabatier, un rosé sera moins dur qu’un rouge. Et pour la vinaigrette, utilisez un vinaigre de cidre qui heurtera moins les tanins du vin. Si elle est confite, alors je vois plutôt un rouge un peu chaud, un Fitou par exemple». Si vous ne voulez pas cuisiner vos carottes, alors allez manger des tartes chaudes chez Carole. Son « Estaminet », situé au 4 de la Place du Parlement de Toulouse (Tel : 05.61.53.64.44), propose chaque midi de réconfortantes tartes salées, bonnes et pas chères, qu’elle accompagne toujours de carottes râpées fraîches et goûteuses. Et si vous demander du rab de carottes, de la part de LibéToulouse, Carole vous souriera encore. Elle est trop forte, Carole ! Jean-Paul S. Un peu plus ? www.cuisinesretrouvees.com 25/02/2008 |
Et en plus ça rend aimable |